Institutionnel
le 19/10/2021
Orléans et Münster (Allemagne) fêtent cette année leur 61e anniversaire de jumelage. Du 7 mai au 26 décembre des festivités et animations vont se dérouler à Orléans. Détails.
Conférence organisée par la Mairie d’Orléans, Orléans Métropole et Loire&Orléans Eco. Interventions de la Mairie de Münster, de la Mairie d’Orléans, de la Métropole d’Orléans, du Conseiller du Commerce extérieur de la France pour la région Centre Val de Loire, de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat Loiret, de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Münster et d’entreprises de Münster.
Melainie Guillet a 21 ans et elle née à Toronto au Canada. Elle a grandi à Nantes où elle a obtenu son baccalauréat en 2018. Aujourd’hui Melainie est étudiante à l’université d’Orléans en langues étrangères appliquées (LEA) où elle étudie l’anglais et l’allemand. De plus, elle est dans le programme double cursus qui permet d’étudier dans deux domaines et d’obtenir une double licence. Melainie est très contente de faire partie de ce programme et de profiter d’un séjour d’un an en Allemagne lors de ses études. « J’ai hâte de partir à Siegen avec mes camarades d’études pour me rendre compte de la vie quotidienne en Allemagne » raconte-elle. Siegen, une ville située dans la région de la Rhénanie du Nord-Westphalie, est en partenariat avec l’université d’Orléans. Après une visite des étudiantes allemandes en deuxième année, les Orléanaises rendent visite à Siegen l’année suivante.
Le choix des études n’était pas évident pour Melainie. Après son baccalauréat, elle a commencé des études en mathématiques à la Rochelle. « J’ai vite remarqué que ce n’est pas mon truc » explique-elle. Elle a donc choisie de se réorienter. De mars 2020 jusqu’à février 2021 elle est partie en Grèce pour faire un Corps européen solidaires (CES) dans le domaine éducatif. Son travail comme assistante en école primaire lui a beaucoup plu. « Partir en Grèce pour faire un CES était la meilleure décision et une expérience enrichissante » dit-elle. Melainie s’est rendu compte pendant son séjour qu’elle aimait bien le domaine de l’international. C’est la raison pour laquelle elle a choisi de suivre des études d’allemand et d’anglais. De plus, elle a cohabité avec des Allemands pendant un an ce qui a suscité encore plus son intérêt pour la langue et la culture.
Melainie a commencé à apprendre l’allemand au collège et depuis elle a toujours eu du plaisir à pratiquer cette langue. Sa vie en colocation avec des allemands lui a donné envie d’apprendre de nouveaux mots et des expressions. C’est ainsi qu’elle a appris son mot allemand préféré : « Schmeckerlecker » (une façon familière de dire que le repas est bon). De plus, la participation à un échange scolaire à Emmenhausen lui a beaucoup plu. « Je trouvais intéressant de voir les différents quotidiens, par exemple que les élèves finissent leurs cours plus tôt qu’en France » constate-elle. Quant à la culture en Allemagne, Melainie apprécie que beaucoup d’Allemands sachent bien parler anglais. De plus, elle est admirative de leur sens d’écologique en comparaison avec la France. Il existe aussi des choses qui l’ont choqué: le fait qu’on mélange le jus d’orange avec de l’eau en Allemagne.
A l’avenir Melainie aimerait bien de travailler dans le domaine de l’interculturel pour sensibiliser les gens aux langues et pays étrangers. Elle est aussi contente qu’il existe des accords entre la France et l’Allemagne qui permettent des rencontres interculturelles. D’après elle l’amitié franco-allemande est un symbole de partage. C’est la raison pour laquelle elle a hâte de partir avec l’université en Allemagne dans un futur proche !
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Melainie Guillet ist 21 Jahre alt und wurde in Toronto, Kanada, geboren. Dennoch ist sie in Nantes aufgewachsen, wo sie im Jahr 2018 ihr Abitur absolviert hat. Heute studiert Melainie an der Universität von Orléans Angewandte Sprachen mit dem Schwerpunkt Deutsch und Englisch. Außerdem macht sie ein Doppeldiplom, welches es ermöglicht, zwei Studiengänge zu belegen und somit am Ende des Studiums ein doppeltes Diplom zu erhalten. Hinzu kommt, dass die Studierenden einen einjährigen Auslandsaufenthalt in Deutschland absolvieren. Melainie ist sehr froh an dem Programm teilnehmen zu können. „Ich freue mich mit meinen Kommilitonen nach Siegen zu fahren und am alltäglichen Leben in Deutschland teilzunehmen“ erzählt sie. Siegen, eine Stadt in Nordrhein-Westfalen, pflegt eine Partnerschaft mit der Universität in Orléans. Nach dem Besuch der deutschen Studenten in Orléans im zweiten Lehrjahr findet der Gegenbesuch in Siegen im Jahr darauf statt.
Die Wahl des Studiengangs war nicht offensichtlich für Melainie. Nach ihrem Abitur fing sie zunächst ein Studium in Mathematik an. Dann hat sie sich entschieden, sich umzuorientieren. „Ich habe schnell gemerkt, dass das Studium nicht zu mir passt“. Schließlich hat sich für einen einjährigen europäischen Solidaritätskorps in Griechenland entschieden. Die Arbeit als Assistentin in einer Grundschule hat ihr sehr gut gefallen und sie bereut die Entscheidung auf keinen Fall, auch wenn die pandemische Lage zum Teil Einschränkungen mit sich brachte. „Mein ESC war die beste Entscheidung und eine bereichernde Erfahrung für mich“. Zudem hat Melainie während des Jahrs festgestellt, dass ihr der internationale Bereich gefällt. Das war auch einer der Gründe, weswegen sie sich dieses Jahr für ein Studium in Deutsch und Englisch entschieden hat. Ein anderer Grund war, dass sie in Griechenland mit Deutschen zusammen in einer Wohngemeinschaft gelebt hat, was zusätzlich ihr Interesse an der Sprache und Kultur erweckte.
Melainie hat auf dem Gymnasium angefangen Deutsch zu lernen und seitdem auch Freude am Erlernen der Sprache gehabt. Vor allem das Zusammenleben mit ihren deutschen Mitbewohnern, hat sie motiviert mit der Sprache zu experimentieren. Auf diese Weise hat sie auch ihr deutsches Lieblingswort „Schmeckerlecker“ gelernt. Hinzu kommt, dass sie während ihrer Schulzeit an einem Austausch nach Emmenhausen teilgenommen hat, der ihr sehr gut gefallen hat. „Ich fand es interessant, die verschiedenen Alltage kennenzulernen, zum Beispiel, dass die Schule in Deutschland viel früher endet als in Frankreich“, erzählt sie. In Hinblick auf die deutsche Kultur gefällt ihr, dass die meisten Deutschen gut Englisch sprechen. Zudem schätzt sie das deutsche Umweltbewusstsein sehr wert im Gegensatz zu Frankreich. Dennoch gibt es auch Dinge, die Melainie an der Kultur geschockt haben: die Tatsache, dass man Apfelsaft mit Wasser mischt in Deutschland.
In Zukunft kann Melainie sich es gut vorstellen, im interkulturellen Bereich zu arbeiten, um anderen Menschen auswärtige Sprachen und Länder näherzubringen. Außerdem ist sie froh, dass es viele Kooperationen zwischen Deutschland und Frankreich gibt, die interkulturelle Treffen ermöglichen. Die deutsch-französische Freundschaft bedeutet für sie vor allem das Symbol des Teilens. Darum freut sich ich schon sehr auf ihren baldigen Aufenthalt in Deutschland
Depuis 2011 il est en charge de l’organisation des échanges entre les établissements scolaires à Orléans et à Münster. Après avoir terminé ses études d’allemand à l’université d’Orléans, il a travaillé comme professeur d’allemand au lycée Pothier et quelques années plus tard dans un lycée à Chatillon-Coligny, lycée où il a débuté l’organisation des échanges scolaires. Il aimait beaucoup la diversité des groupes d’élèves participants. Un échange avec la ville d’Edertal lui a montré les habitudes de gens venant de la campagne, l’échange avec Francfort a été lui plus dynamique.
Les nombreux bons souvenirs de ces échanges l’ont poussé à s’investir dans l’association Orléans-Münster, d’autant plus qu’il avait lui-même participé à un échange quand il était en seconde. Par hasard, il a même retrouvé son ancien correspondant cet été.
Son gout pour l’organisation des échanges vient du fait qu’il est toujours bien accueilli et aime la façon de vivre en Allemagne. De plus, il aime bien parler ou écouter allemand. Mais en premier lieu il veut faire découvrir le pays voisins aux jeunes.
La pédagogie est la chose préférée de René en Allemagne en tant que professeur. Il est fasciné par le fait que les élèves allemands prennent facilement la parole contrairement aux élèves français. René pense que c’est une conséquence négative des cours magistraux en France. Il a pu observer ce « phénomène » pendant un échange. Les Allemands ont présenté une pièce de théâtre devant leurs familles correspondantes bien qu’ils n’avaient pas eu beaucoup de préparation. Un autre exemple est l’agencement dans les salles de classes, en Allemagne, les tables sont placées de manière à faciliter la communication.
L’amitié franco-allemande est une évidence pour René. Cependant étant donné qu’il n’a eu que des expériences positives en Allemagne et avec les allemands il lui semble que son image du pays est incomplète. Quand même, c’est mieux que le contraire !
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René Soule-Péré kommt aus gebürtig aus Orléans und ist Vorsitzender des Vereins Orléans-Münster. Seit 2011 ist er für die Organisation des Austausches zwischen Orléans und Münster verantwortlich. Nach seinem abgeschlossenen Deutsch-Lehramt Studium, arbeitet René zunächst am Gymnasium Pothier und anschließend an einer Schule in Chatillon-Colligny. Dort begann er unter anderem mit dem Organisieren von Schüleraustauschen. Dabei ist ihm vor allem die Diversität der verschiedenen Schulgruppen ins Auge gesprungen. Bei einem Austausch mi der deutschen Stadt Edertal wurde ihm die ländliche Lebensweise in Deutschland nähergebracht, wobei ein Austausch mit Frankfurt eine ganz andere Dynamik trug.
Aufgrund seiner zahlreichen, positiven Erfahrungen mit Austauschen, setzte René die Organisation derer schließlich im Rahmen des Vereins Orléans-Münster fort. Hinzu kommt, dass er selbst in der Oberstufe an diesem Austausch teilnahm. Zufälligerweise kam es in diesem Sommer zu einem spontanen Wiedertreffen mit seinem ehemaligen Austauschschüler, mit dem er seitdem sporadisch in Kontakt war.
Seine Motivation Austausche zu organisieren ist vielseitig: Zum einen fühlt sich René immer herzlich empfangen von den deutschen Freunden. Andererseits gefällt es ihm die deutsche Sprache zu hören oder zu sprechen, sowie die Lebensweise, „la façon de vivre“ der Deutschen zu entdecken.
Wenn René eine Lieblingssache an Deutschland wählen müsste, dann wäre es die deutsche Pädagogik. Er bewundert seine Beobachtung, dass deutsche Schüler*innen sich gerne am Unterrichtsgeschehen beteiligen. Das fehlt ihm bei den französischen Schüler*innen, doch er sieht es als Folge des verstärkten Frontalunterrichts in Frankreich. Dieses „Phänomen“ konnte er unter anderem bei einem Austausch beobachten. Die Deutschen präsentierten nur nach kurzer Vorbereitungszeit problemlos ein französisches Theaterstück. Das stehe im Zusammenhang mit der Selbstständigkeit deutscher Schüler. Ein weiteres Beispiel sei die Anordnung der Tische im Klassenzimmer. In Deutschland ist es teilweise üblich Gruppentische zu bilden, um die Kommunikation zwischen den Schülern zu erleichtern. Das fehlt René in Frankreich und er wartet auf den Tag, an dem die deutsche bzw. nordeuropäische Pädagogik nach Frankreich kommt.
Die deutsch-französische Freundschaft ist schließlich selbstverständlich für René. Er ist dankbar die guten Seiten Deutschlands zu kennen. Trotzdem erscheint ihm sein Bild von Deutschland unvollständig, da er nie in Deutschland gearbeitet hat und daher nie die Schattenseiten zu Gesicht bekommen hat.
Friederike Destruhaut-Teran vient de la ville de Göttingen de la région de Basse-Saxe. Après son bac, elle a quitté l’Allemagne pour faire ses études en France. Depuis elle n’y est jamais retournée. Quand elle avait 19 ans, Friederike s’est installée à Paris où elle a étudié à l’Ecole supérieure des arts et techniques de la mode « ESMOD ». Aujourd’hui, Friederike habite à Orléans avec son mari français.
Le bilinguisme a toujours fait partie de sa vie. Etant donné que ses parents ont des racines espagnoles et italiennes, elle a l’habitude d’entendre plusieurs langues à la maison, ce qui représente un véritable atout pour elle. Et c’est également le cas dans son cercle d’amis car elle a connu beaucoup de couples franco-allemands pendant qu’elle enseignait au lycée franco-allemand à Versailles.
A l’occasion du festival de Loire, Friederike a travaillé comme interprète pour accompagner la délégation de la ville de Münster. D’après elle, le Festival était vraiment un grand succès. Bien que ce soit sa première fois comme interprète, tout s’est très bien passé. Avant son travail au Festival, elle a bénéficié d’une première expérience d’interprétariat pendant une visite à Sarreguemines en Alsace.
Pendant son travail d’interprétariat, Friederike a eu plus de mal pour traduire en allemand qu'en français. « Parfois j’avais des difficultés à trouver les mots allemands spécifiques », raconte-elle. Bien qu’elle vienne à l’origine d'Allemagne, elle admet que son allemand est un peu « rouillé », car elle vit depuis 30 ans en France.
Pour Friederike, il est important de maintenir l’amitié franco-allemande parce que les deux pays sont les deux jetées de l’Europe. « D’un point de vue économique, la France et l’Allemagne soutiennent toute l’Europe et d’un point historique, elle peut renforcer la paix et éviter une Troisième Guerre mondiale ».
De plus, Friederike est très contente que le jumelage entre Münster et Orléans apporte sa contribution à l’amitié franco-allemande. Elle en a profité elle-même pendant son travail comme interprète au Festival de Loire. Néanmoins, elle appelle à s’engager dans le jumelage, par exemple en participant aux échanges avec la ville partenaire.
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Friederike Destruhaut-Teran ist in der Stadt Göttingen, in Niedersachen, aufgewachsen. Nach ihrem Abitur ist sie für ihr Studium an der Modeschule ESMOD mit 19 Jahren nach Paris gezogen. Inzwischen lebt Friederike mit ihrem französischen Ehemann in Orléans und ist, abgesehen von einigen Besuchen, nicht wieder nach Deutschland zurückgekehrt.
Die Zweisprachigkeit innerhalb der Familie war für Friederike nicht wirklich neu als sie nach Frankreich zog. Durch die spanische und italienische Herkunft ihrer Eltern ist sie nicht nur an das Zusammenleben verschiedener Sprachen gewohnt, sondern schätzt es auch stark wert. Auch in ihrem Bekanntenkreis spiegelt sich dieses Phänomen wider, da sie zahlreiche deutsch-französische Paare aus ihrer Zeit als Lehrerin an dem deutsch-französischen Gymnasium in Versailles hat.
Anlässlich des Festivals de Loire hat Friederike als Dolmetscherin für die Delegation aus Münster gearbeitet. Auch wenn es ihr erstes Mal als Dolmetscherin war, erzählt Friederike, dass alles hervorragend gelaufen ist und, dass das Fest ein voller Erfolg war. Zuvor hatte sie unter anderem erste Erfahrungen als Dolmetscherin während eines Besuches in Saargemünd gemacht.
Bei ihrer Übersetzungsarbeit hatte Friederike zwischenzeitlich den Eindruck, dass ihr die Übersetzung nach deutsch schwerer fiel als umgekehrt. „Manchmal fehlten mir spezifische deutsche Wörter“. Ihr deutsch sei inzwischen etwas „eingerostet“, da sie seit über 30 Jahren in Frankreich lebt.
Für sie ist die deutsch-französische Freundschaft von großer Bedeutung, da die beiden Länder die Säulen Europas bilden. „Im wirtschaftlichen Hinblick unterstützen Deutschland und Frankreich ganz Europa und im historischen Hinblick verstärkt die deutsch-französische Freundschaft den Frieden und vermeidet einen weiteren Krieg“.
Des Weiteren ist Friederike sehr erfreut darüber, dass die Partnerschaft zwischen Münster und Orléans einen Teil zur deutsch-französischen Freundschaft beiträgt. Davon hat sie bei ihrer Arbeit auf dem Festival persönlich profitiert. Trotzdem appelliert sie an die Aufrechterhaltung der Städtepartnerschaft, wie beispielsweise durch eine Teilnahme an einen Schüleraustausch.
Fabiola Crespel a aujourd'hui 21 ans et a participé deux fois à l'échange scolaire entre Orléans et Münster, organisé chaque année par l'association Orléans-Münster et l’Orléans-Team. Aujourd'hui encore, elle est en contact avec sa correspondante Lotti Böttcher - les deux sont devenues de bonnes amies qui se rendent également visite en dehors des échanges scolaires.
À ce jour, Fabiola s'est rendue trois fois en Allemagne, en 2016 et en 2017 avec l'échange scolaire et à nouveau à titre privé en 2018 pour voir son ancienne correspondante Lotti.
Son intérêt pour l'Allemagne a commencé il y a onze ans grâce à son professeur d'allemand. « Elle était tout simplement passionnée », raconte Fabiola. « Les cours étaient très ludiques, on faisait plein de projets en groupe et de présentations orales. Pendant mes 4 années de collège, les cours d’allemand étaient mes préférés, bien que cette langue soit compliquée à apprendre.»
Lorsque Fabiola s'est rendue à Münster pour la première fois, elle a beaucoup aimé parcourir les rues à vélo ou se promener le long du lac Aasee. Pendant l'échange, elle a également participé aux cours de Lotti, suivi des cours de langue et pris part aux activités du programme d'échange l'après-midi - par exemple, la visite d'un planétarium. « Le week-end de l’échange de 2017, nous sommes allé voir la famille de Lotti pour l’anniversaire de sa Grand-Mère. Sa famille m’a tout de suite adoptée, on a discuté de plein de choses, et j’ai aidé les petits cousins de Lotti avec leurs devoirs de français ! J’avais beaucoup d’appréhension à l’idée de me retrouver seule entourée de 25 allemands ne parlant pas français – à l'exception de Lotti –, mais l’atmosphère festive et la bienveillance de sa famille m’ont vite mise à l’aise, tout le monde me parlait assez lentement pour que j’ai le temps de comprendre, ils répétaient si nécessaire, et à la fin du week-end je me sentais chez eux comme chez moi. J’ai vraiment eu une chance incroyable de tomber sur cette famille ! ». La fête d'anniversaire chez la grand-mère de Lotti a été la meilleure expérience de Fabiola en Allemagne.
À Orléans, Lotti aimait se promener dans le Parc Pasteur ou se rendre au centre commercial Place d'Arc lorsqu'il pleuvait. Elle a notamment fait un rallye urbain pendant l'échange à Orléans, visité le château d'Amboise et fait une excursion d'une journée à Blois et à Paris. Elle a trouvé particulièrement intéressant que Fabiola vive dans un internat à Orléans. « La vie en internat était une expérience totalement nouvelle pour moi, mais j'étais heureuse d'avoir un aperçu de cette vie grâce à l'échange. » Elle se souvient surtout des soirées où elle et sa correspondante discutaient de toutes sortes de choses pendant des heures.
Sur le plan culturel, Fabiola a particulièrement apprécié le fait que les élèves allemands soient libérés des cours au plus tard à 14 heures et puissent s'adonner à leurs loisirs l'après-midi. Et elle aime la façon dont les Allemands mangent. « C’est plus désordonné qu’en France, mais c’est aussi beaucoup moins solennel. Ils font également de grands repas de famille, mais c’est moins important et pompeux qu'en France, ce qui me plait beaucoup », constate Fabiola. Le cliché selon lequel les Allemands sont malpolis est faux, dit-elle.
Lotti affirme à propos de son pays partenaire : « On dit souvent des Français qu'ils sont très sensibles à la mode. Je ne peux que confirmer ce cliché. J'ai toujours aimé être inspirée par les tenues des gens en France. Mais on dit aussi des Français qu'ils n'aiment pas apprendre les langues étrangères - je pense que c'est faux. Fabiola est très douée en langues et ouverte à l'apprentissage de nouvelles langues. Sa connaissance de l'allemand était si impressionnante que ma famille et mes amis en parlent encore aujourd'hui. »
Lotti aime qu'en France, il y ait du pain et du fromage à presque tous les repas. C'est pourquoi son mot préféré en français est « fromage ». « Et les crêpes, surtout avec du Nutella, sont mes préférées ! » dit-elle. Elle se souvient encore avoir goûté des huîtres pour la première fois de sa vie à Libourne, dans le cadre d'un voyage en France avec l'école en 2014. "Cela me semblait un peu étrange à l'époque", se souvient Lotti.
Le mot préféré de Fabiola en allemand est « Kartoffel » (« pomme de terre »). Pourquoi ? « Une fois, nous faisions du vélo à Münster et soudain, une pomme de terre se trouvait seule sur la piste cyclable. April, une amie française qui participait également à l'échange, a crié ‘Kartoffel’ pour nous avertir, et depuis lors, nous crions « Kartoffel » lorsque nous voyons un obstacle sur la route - même si, dans 99,9 % des cas, l'obstacle n'est pas du tout une pomme de terre. »
Les merveilleuses expériences de cet échange ont motivé Lotti à étudier le français. A partir de septembre, elle vivra donc à Nice pour un semestre à l'étranger.
L'année dernière, Fabiola et Lotti n'ont pas pu se revoir à cause de la pandémie et de leurs études, mais elles sont déjà occupées à faire de nouveaux plans - elles veulent absolument se rendre visite dans leurs villes d'études, Nice et Nantes, dès que possible.
Quand Fabiola pense à Münster aujourd'hui, une petite anecdote lui vient à l'esprit et la fait sourire: « Un jour je marchais dans les rues de Münster pour rejoindre Lotti quand une inconnue m’a arrêté pour me demander son chemin. Je me suis surprise à répondre et lui indiquer la bonne route du premier coup sans hésiter, comme si j’habitais là depuis des années. J’aime bien cette anecdote parce que pour moi Münster c’est ça, une petite ville qu’on apprend vite à connaitre et dans laquelle je me sens comme chez moi. »
Fabiola Crespel ist jetzt 21 Jahre alt und hat während ihrer Schulzeit zwei Mal am Schüleraustausch zwischen Orléans und Münster teilgenommen, der jedes Jahr von der Association Orléans-Münster und dem Orléans-Team organisiert wird. Noch heute ist sie mit ihrer Austauschschülerin Lotti Böttcher in Kontakt – die beiden sind inzwischen gute Freunde, die sich auch privat besuchen.
Bis heute war Fabiola drei Mal in Münster, 2016 und 2017 mit dem Schüleraustausch und 2018 noch einmal privat bei ihrer ehemaligen Austauschpartnerin Lotti.
Ihr Interesse für Deutschland weckte vor elf Jahren ihre Deutschlehrerin. „Sie war einfach faszinierend“, erzählt Fabiola. „Der Unterricht hat mit ihr sehr viel Spaß gemacht, wir haben viele Gruppenprojekte und mündliche Präsentationen gemacht. Während meiner vierjährigen Collège-Zeit gehörte der Deutschunterricht zu meinen Lieblingsfächern, obwohl die Sprache kompliziert zu lernen ist.“
Als Fabiola das erste Mal in Münster war, hat es ihr richtig gut gefallen, mit dem Fahrrad durch die Straßen zu düsen oder am Aasee spazieren zu gehen. Während des Austausches hat sie außerdem an Lottis Unterricht teilgenommen, Sprachunterricht besucht und am Nachmittag an Aktivitäten des Austauschprogrammes teilgenommen – zum Beispiel haben die Schüler einmal ein Planetarium besichtigt. „Am Austauschwochenende 2017 besuchten wir außerdem Lottis Familie zum Geburtstag ihrer Großmutter. Ihre Familie hat mich sofort aufgenommen, wir haben über viele Dinge gesprochen, und ich habe Lottis kleinen Cousins bei den Französisch-Hausaufgaben geholfen! Ich hatte vorher große Bedenken, allein mit 25 Deutschen zu sein, die kein Französisch sprachen – mit Ausnahme von Lotti – aber die festliche Atmosphäre und die Freundlichkeit ihrer Familie haben mich schnell beruhigt, alle sprachen so langsam, dass ich sie verstehen konnte, sie wiederholten sich, wenn es nötig war, und am Ende des Wochenendes fühlte ich mich bei ihnen wie zu Hause. Es ist wirklich cool, eine so gute Bindung zu einer deutschen Familie aufgebaut zu haben, ich fühle mich völlig integriert in dem Land!“ Die Geburtstagsfeier bei Lottis Oma war Fabiolas schönstes Erlebnis in Deutschland.
Lotti hat es in Orléans geliebt, im Parc Pasteur spazieren zu gehen oder bei Regen im Shoppingzentrum Place d’Arc unterwegs zu sein. Unter anderem hat sie während des Austauschs in Orléans eine Stadt-Rally gemacht, das Château d’Amboise besucht und einen Tagesausflug nach Blois und Paris unternommen. Besonders spannend fand sie, dass Fabiola in Orléans in einem Internat gelebt hat. „Das Internatsleben war für mich eine komplett neue Erfahrung, aber ich habe mich gefreut, durch den Austausch mal einen Einblick in dieses Leben zu bekommen.“ Sie denkt am liebsten an die Abende zurück, an der sie mit ihrer Austauschpartnerin stundenlang zusammengesessen und über alles Mögliche gequatscht hat.
Kulturell hat Fabiola vor allem gefallen, dass die deutschen Schüler spätestens um 14 Uhr vom Unterricht befreit werden und nachmittags ihren Hobbys nachgehen können. Und sie mag die Art, wie die Deutschen essen. „Es ist ‚chaotischer‘ als in Frankreich, aber auch viel weniger feierlich. Es gibt auch große Familienmahlzeiten, aber sie sind weniger wichtig und pompös als in Frankreich“, findet Fabiola. Das Klischee, dass Deutsche unhöflich seien, sei falsch, sagt sie.
Lotti behauptet über ihr Partnerland: „Man sagt über Franzosen oft, dass sie sehr modebewusst sind. Dieses Klischee kann ich nur bestätigen. Ich habe es immer genossen, mich in Frankreich von den Outfits der Menschen dort inspirieren zu lassen. Man sagt aber auch über Franzosen, dass sie ungerne Fremdsprachen lernen – das ist falsch, denke ich. Meine Austauschpartnerin aus Orléans war allgemein sehr sprachentalentiert und offen, neue Sprachen zu lernen. Ihre Deutschkenntnisse waren so beeindruckend, dass meine Familie und meine Freunde heute noch darüber sprechen.“
Lotti gefällt, dass es in Frankreich fast zu jedem Essen Brot und Käse gibt. Deswegen ist ihr Lieblingswort auf Französisch auch „Fromage“ („Käse“). „Und Crêpes, vor allem mit Nutella, sind mein absolutes Lieblingsessen!“, erzählt sie. Sie erinnert sich noch daran, dass sie im Rahmen einer Frankreichreise mit der Schule im Jahr 2014 in Libourne zum ersten Mal in ihrem Leben Austern probiert hat. „Das erschien mir damals etwas seltsam“, erinnert Lotti sich.
Fabiolas Lieblingswort auf Deutsch ist ‚Kartoffel‘. Warum? „Einmal waren wir in Münster mit dem Fahrrad unterwegs und auf einmal lag eine Kartoffel allein auf dem Radweg. April, eine französische Freundin von mir, die auch am Austausch teilnahm, rief ‚Kartoffel‘, um uns zu warnen, und seitdem ist es dabei geblieben, dass wir ‚Kartoffel‘ rufen, wenn wir ein Hindernis auf der Straße sehen – auch wenn das Hindernis in 99,9% der Fälle gar keine Kartoffel ist.“
Die wundervollen Erlebnisse dieses Austauschs haben Lotti dazu motiviert, Französisch zu studieren. Ab September wird sie deswegen für ein Auslandssemester in Nizza leben.
Im letzten Jahr konnten sich Fabiola und Lotti durch die Corona-Pandemie und ihr Studium nicht wiedersehen, aber die beiden schmieden schon wieder fleißig Pläne – sie wollen sich unbedingt gegenseitig in ihren Studienstädten Nizza und Nantes besuchen, sobald es geht.
Wenn Fabiola an Münster denkt, kommt ihr heute eine kleine Anekdote in den Kopf, die sie zum Schmunzeln bringt, wenn sie darüber nachdenkt: „Ich ging einmal durch die Straßen von Münster, um Lotti zu treffen, als mich eine Fremde anhielt, um mich nach dem Weg zu fragen. Ich war selbst überrascht, als ich ihr auf Anhieb und ohne zu zögern antwortete und ihr den richtigen Weg wies, als ob ich schon seit Jahren in der Stadt wohnen würde! Ich mag diese Geschichte, denn ich finde sie zeigt, dass Münster eine kleine Stadt ist, die man schnell kennenlernt und in der ich mich wie zuhause fühle.“
L'effervescence et l’atmosphère de Paris, les bâtiments remarquables et les rues magnifiques de la ville, la Seine scintillante le soir - tout cela a fait une grande impression sur Lisa Krügel lorsqu'elle a visité la capitale du pays dès son premier voyage en France en 2007. Depuis l'été 2019, elle travaille au sin du Bureau international de la Mairie de Münster, où elle est responsable de certains jumelages, notamment entre sa ville et Orléans. Depuis son voyage à Paris, elle a beaucoup voyagé dans le pays voisin, avec d'innombrables visites à Paris, Strasbourg, Bordeaux, Arcachon, Biarritz et enfin Orléans. Elle a fait un voyage d'affaires dans la ville jumelle en septembre pour le Festival de Loire 2019, tout au début de son arrivée au Bureau international. C'était la première fois qu'elle venait à Orléans. "Nous avons été chaleureusement accueillis", rapporte Lisa. "Nous avons pu non seulement apprendre à connaître la ville, mais aussi découvrir les traces de Jeanne d'Arc et le Festival de Loire, riche en traditions. La ville au bords de la Loire a tant à offrir et elle est magnifique !" Elle aime particulièrement l'atmosphère que l'on peut apprécier lors d'une promenade - les bâtiments lumineux et le panorama des bords de la Loire avec la cathédrale imposante. Sa destination de rêve en France est la Provence - avec ses magnifiques champs de lavande et la pittoresque Côte d'Azur.
Grâce à ses nombreux voyages dans le pays, elle s'est également familiarisée avec la culture française. Les Français ont un sens particulier de l'esthétique et de l'élégance, constate Lisa. Elle aime le style de vie à la française - le fameux « savoir-vivre » ! Elle a remarqué de manière positive la tradition de l'"apéritif", qui se répand maintenant lentement en Allemagne. Son mot préféré dans la langue du partenaire est "flanérie". C'est, selon elle, la merveilleuse façon d'explorer de nouvelles villes. Le cliché selon lequel les Français ont un amour particulier pour leur langue est vrai, dit-elle. Le fait que les piétons allemands s’arrêtent à chaque feu rouge, même lorsqu'il n'y a pas de voiture en vue, est également vrai. "Mais nous ne mangeons pas tous de la choucroute et des saucisses et nous ne portons pas tous des costumes traditionnels !".
Lisa vit à Münster, depuis 2016, mais elle est originaire de la région de la Ruhr. Elle y a suivi un double programme d'études (Bachelor of Laws) avec la ville de Gelsenkirchen. Outre Orléans et Beaugency en France, elle est également en charge du partenariat avec leur ville jumelle israélienne, Rishon LeZion, et avec Monastir en Tunisie. "Chaque partenariat est différent et possède ses propres thèmes qui le façonnent. Il n'y a pas deux journées de travail qui se ressemblent." L'ennui, dit-elle, n'existe pas dans son travail. Elle a la possibilité d'élargir constamment ses horizons. Pour Lisa, il est toujours particulièrement émouvant de constater que son travail fait vraiment la différence. "Je suis à chaque fois fascinée par le fait que les gens parlent de leurs expériences personnelles avec des yeux pétillants et que je peux partager leur passion et leur enthousiasme pour les échanges internationaux." Ce faisant, elle s'entoure quotidiennement d'une équipe cosmopolite et chaleureuse. Par exemple, l'un de ses collègues a organisé une promenade de l'Europe en mai dernier dans le cadre de la Semaine de l'Europe 2021. Ici, on pouvait répondre à des questions sur l'Europe dans différentes stations et apprendre beaucoup d'informations. "Lorsque j'ai fait cette promenade moi-même, j'ai rencontré de nombreuses personnes et je les ai entendues donner les bonnes réponses. Bien sûr, je n'étais pas autorisé à donner des conseils, mais j'ai été très heureuse de l'enthousiasme que j'ai ressenti parmi les gens. Cette action a permis de changer la routine quotidienne avec la Covid-19. Les autres projets issus du partenariat avec Orléans sont nombreux : une coopération est établie et maintenue - que ce soit dans le domaine du sport, de l'école, de l'art ou de la musique - des concours de photos sont lancés et des programmes de radio communautaire sont enregistrés, des questions environnementales sont traitées et un travail de commémoration est réalisé.
Regardant vers l'avenir, Lisa Krügel déclare : "Je suis heureuse que les contacts avec Orléans se développent après plus de 60 ans de jumelage et que je puisse en faire partie. J'espère que nous pourrons mettre en place de nombreux autres projets communs et mettre en contact de plus en plus de personnes entre nos villes - à notre amitié !"
Das geschäftige Treiben und der Flair von Paris, die markanten Gebäude und prachtvollen Straßen der Stadt, die glitzernde Seine am Abend – all das hat Lisa Krügel sehr beeindruckt, als sie bei ihrer ersten Frankreichreise 2007 gleich die Hauptstadt des Landes besuchte. Sie ist seit Sommer 2019 im Büro Internationales des Amtes für Bürger- und Ratsservice der Stadt Münster als Sachbearbeiterin für einige der Städtepartnerschaften Münsters zuständig, unter anderem für Orléans. Seit ihrer Paris-Reise ist sie noch viel im Nachbarland herumgekommen, unter anderem war sie noch unzählige Male in Paris, in Straßburg, Bordeaux, Arcachon, Biarritz und schließlich in Orléans. Die Reise in die Partnerstadt hat sie beruflich im September zum Loire-Festival 2019 gemacht, gleich zu Beginn ihrer Zeit im Büro Internationales. Es war ihr erstes Mal in Orléans. „Wir wurden herzlich empfangen“, berichtet Lisa. „Wir durften nicht nur die Stadt kennenlernen, sondern auch die Spuren der Jeanne d’Arc verfolgen und das traditionsreiche Festival de Loire miterleben. Die Stadt an der Loire hat so viel zu bieten und ist wunderschön!“ Besonders gerne mag sie die Atmosphäre, die man bei einem Spaziergang genießen kann – die hellen Gebäude und das Panorama vom Loire-Ufer mit der hoch hinausragenden Kathedrale. Ihr Traumreiseziel in Frankreich ist die Provence – mit seinen schönen Lavendelfeldern und der malerischen Côte d‘Azur.
Durch ihre zahlreichen Reisen im Land, hat sie auch die französische Kultur sehr gut kennengelernt. Die Franzosen haben einen besonderen Sinn für Ästhetik und Eleganz, findet Lisa. Und ihr gefällt der französische Lebensstil – das bekannte „Savoir-vivre“ (deutsch: „zu leben wissen“)! Positiv aufgefallen ist ihr die Tradition des „Apéritifs“, die aber auch langsam in Deutschland Einzug findet. Ihr Lieblingswort in der Partnersprache ist „Flanérie“, das Umherschlendern. So, findet sie, kann man wunderbar neue Städte erkunden. Das Klischee, dass die Franzosen eine besondere Liebe zu ihrer Sprache hegen, sei wahr. Dass die Deutschen Fußgänger an jeder roten Ampel stehen bleiben, auch, wenn weit und breit kein Auto zu sehen ist, ebenfalls. „Aber wir essen nicht alle Sauerkraut und Wurst und tragen Trachten!“
Lisa lebt seit 2016 hier in Münster, kommt ursprünglich aber aus dem Ruhrgebiet. Dort hat sie bei der Stadt Gelsenkirchen ein duales Studium (Bachelor of Laws) absolviert. Neben Orléans und Beaugency in Frankreich ist sie im Büro Internationales auch mit der Partnerschaft zu Münsters israelischen Partnerstadt, Rishon LeZion und derzeit als Elternzeitvertretung mit dem tunesischen Monastir betraut. „Jede Partnerschaft ist individuell und hat ganz eigene Themen, die sie prägen. Kein Arbeitstag gleicht dem anderen.“ Langweile, berichtet sie, gibt es bei ihrer Arbeit nicht. Und sie hat die Gelegenheit, ständig ihren Horizont zu erweitern. Für Lisa ist es immer besonders bereichernd, wenn Sie mitbekommt, dass ihre Arbeit wirklich etwas bewegt. „Es fasziniert mich jedes Mal aufs Neue, wenn Menschen mit funkelnden Augen von ihren persönlichen Erlebnissen berichten und man daran teilhaben darf, wie sie sich mit Leidenschaft einsetzen und für den internationalen Austausch brennen.“ Dabei umgibt sie sich täglich mit einem weltoffenen, herzlichen Team. Eine Kollegin von ihr hat zum Beispiel in diesem Mai einen Europa-Bummel im Rahmen der Europawoche 2021 auf die Beine gestellt. Hier konnten Fragen zu Europa an verschiedenen Stationen beantwortet und viel Informatives erfahren werden. „Als ich diesen Spaziergang selbst machte, traf ich dabei auf viele einzelne Personen und hörte, wie sie zu den richtigen Antworten rätselten. Tipps durfte ich natürlich nicht geben – aber ich habe mich sehr gefreut über die Begeisterung die ich bei den Menschen erleben durfte. Es war einfach eine gelungene Abwechslung im Alltag mit Covid-19.“, erzählt Lisa eine Anekdote aus ihrem Arbeitsalltag. Die Projekte, die sonst in der Partnerschaft mit Orléans entstehen, sind zahlreich : Es werden Kooperationen aufgebaut und gepflegt – sei dies im Bereich Sport, Schule, Kunst oder Musik – es werden Fotowettbewerbe ins Leben gerufen und Bürgerfunksendungen aufgenommen, Umweltthemen behandelt und Erinnerungsarbeit betrieben.
In Hinblick auf die Zukunft sagt Lisa: „Ich freue mich, dass die Kontakte mit Orléans nach über 60 Jahren Städtepartnerschaft so aufblühen und dass ich Teil davon sein kann. Ich hoffe, dass wir noch viele gemeinsame Projekte auf die Beine stellen und immer mehr Menschen zwischen unseren Städten in Kontakt bringen können – auf weiterhin gute Freundschaft, à notre amitié!“
Inge Schuth est « Münsteranerin » (münsteroise) - et est depuis longtemps une passionnée de la France. Elle est présidente de l’association franco-allemande de Münster e.V. depuis 21 ans.
Elle est entrée en contact avec la langue française par sa tante, qui était professeur de français. « Enfant, je rendais souvent visite à la famille de ma tante pendant les vacances, raconte-t-elle, elle recevait souvent la visite d'une amie professeur de français. J'ai suivi leur conversation en français et j'étais impatiente de me joindre à elles, car cette langue me semblait incroyablement mélodieuse et belle. C'est comme ça que tout a commencé ! »
Christiane Monchaty vit à Orléans. Son amour pour l'Allemagne vient en partie de sa mère, qui est née en Allemagne. " J'avais 13 ans, je parlais très peu l'allemand, je suis allée seule dans la famille de ma mère à Schwäbisch Hall puis dans le Nord, une petite ville qui s'appelle Preetz. J'ai été surprise par la nourriture, notamment les tartines du soir et le plat unique le midi. J'ai adoré les gâteaux et les glaces. Je n'ai pas aimé les baignades dans la mer Baltique que j'ai trouvé froide... »
Inge a eu sa première expérience de la France pas loin d'Orléans, en faisant du vélo aux bords de la Loire avec sa classe en 1983. "À l'époque, notre professeur de français, Dr Gabriele Peus, a été très courageuse de faire du vélo avec un groupe de filles. Les Français n'étaient pas encore familiarisés avec le vélo comme moyen de transport « récréatif », il n'y avait pas de pistes cyclables, et les klaxons étaient forts et longs lorsque les Français nous dépassaient sur la R4. Même quelques pannes de vélo n'ont pas perturbé notre professeur. Nous avons été hébergées dans une ferme de chèvres. Là, nous avons été autorisées à donner le biberon aux petits agneaux et nous nous sommes beaucoup amusées. On est allée à Paris, la première fois, une ville impressionnante pour nous, filles de la banlieue de Münster." Après avoir obtenu son baccalauréat, Inge a fait une année comme jeune fille au pair à Marseille.
Christiane a également beaucoup voyagé dans son pays voisin : Elle a déjà vu Berlin, Munich, où elle a travaillé pendant 4 ans, la vallée du Rhin, le lac de Constance, Hambourg, à l'est Dresde et Leipzig, la Forêt-Noire, et bien plus encore. Il y a cependant une chose qu'elle trouve dommage : "Je regrette que les Allemands ne défendent pas plus leur langue." Sa ville préférée est Berlin. « L'endroit que je préfère, pas forcément le plus beau, mais le plus intéressant, c'est Berlin. » pense-t-elle.
Les endroits préférés d'Inge en France sont Paris et Collioure. Sa famille possède un petit appartement à Paris dans le Quartier Mouffetard, un quartier pittoresque du cinquième arrondissement, près du Jardin du Luxembourg. La rue Muffetard offre toujours le charme médiéval avec ses nombreux stands de poissons, de viandes, de légumes, de fruits et ses boulangeries, ainsi que ses cafés et restaurants avec des sièges dans la rue et de nombreuses cultures différentes. Inge apprécie particulièrement la culture française - elle dit qu'elle est diverse, pleine d'art « inspirant » et d'artistes doués qui ont fait des rencontres « inspirantes » dans les cafés du Quartier Latin à Paris au 19ème siècle.
Elle repense avec émotion aux fêtes de Jeanne d'Arc 2018 à Orléans, où les villes jumelles étaient présentes et où elle a le privilège de parcourir les rues d'Orléans avec les représentants des villes de nombreux pays dans le cortège du 8 mai.
La « Deutsch-Französische Gesellschaft (D.F.G) Münster e.V. » (Association Franco-Allemande de Münster) a été fondée en 1996 par un Français et un Allemand vivant à Münster. Au début, il y avait des tables rondes dans divers cafés et bars de Münster, où l'on ne parlait que le français en grand groupe, puis l’association s'est développée et compte aujourd'hui plus de 100 membres. L’association propose une variété d'événements français, des concerts, des festivals d'été avec de la musique française, des visites de musées, des soirées cinéma, des dégustations de vins, des soirées et des fêtes traditionnelles françaises, comme la soirée Galette des Rois. Pour les élèves de Münster et de la ville jumelle Orléans, un concours de lecture est organisé dans les lycées, collèges et écoles de Münster. Les élèves français d'Orléans participent au concours pendant leur visite de deux semaines à Münster et lisent des textes allemands. Les gagnants des différents groupes reçoivent des prix en espèces et en livres. Inge fait partie de l’association depuis 1997 et elle est présidente de l’association depuis 21 ans. "Grâce à un travail constant et à des contacts étroits avec la France, notamment avec nos amis de l'Association Franco-Allemande d'Orléans, notre ville jumelle, j'ai pu pratiquer mon français et contribuer largement à l'offre culturelle française à Münster." Il est important pour elle de promouvoir les contacts entre les villes jumelles et de créer de nombreuses relations entre les habitants d'Orléans et de Münster.
L'Association Franco-Allemande(A.F.A) d'Orléans promeut la langue et la culture allemandes à Orléans depuis plus de 30 ans et entretient des relations amicales avec l'Association franco-allemande de Münster, notamment par des voyages et des rencontres. Christiane est membre depuis 2016 et présidente depuis 2017. "J'aime garder le contact avec l'Allemagne et la langue allemande, mais aussi contribuer à notre petit niveau à l'amitié franco-allemande et donc à la paix en Europe", raconte-t-elle. L'association propose un large éventail d'activités : des conférences, des cours d'allemand, des jeux, des fêtes, des visites d'exposition, des sorties au cinéma et au théâtre, des excursions à Münster - et une table des habitués le premier mercredi de chaque mois.
Chaque année, l'AFA d'Orléans et la DFG de Münster organisent à tour de rôle des voyages à Orléans et à Münster. "Il y a toujours un échange animé et de qualité, et une atmosphère harmonieuse et simple", constate Inge. Christiane était à Münster pour la première fois dans ce cadre en 2019. "J'ai été touchée de découvrir combien les membres de la DFG de Münster avaient fait des efforts pour nous accueillir, avec un programme de visites culturelles et une belle fête d'été avec de bons artistes et toutes sortes de spécialités à goûter."
Actuellement, les deux associations, ainsi que la ville d'Orléans et la ville de Münster, organisent un concours de photos dans les deux villes jumelles.
Les photos gagnantes des deux villes seront exposées dans des lieux publics à Münster et à Orléans en août et septembre. Thème : Mobilité innovante et durable à Münster et à Orléans - se déplacer dans notre ville !
L'expression préférée d'Inge en français : Non seulement son parfum et son vin préférés s’appellent ainsi, mais également sa devise de vie est "La vie est belle".
Le mot préféré de Christiane en allemand : Gemütlichkeit. [Définition : l'atmosphère qui déclenche le sentiment de confort ; sans traduction en français]
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Inge Schuth ist Münsteranerin – und schon seit Langem Frankreich-Begeisterte. Seit 21 Jahren ist sie Vorsitzende der deutsch-französischen Gesellschaft Münster e.V.
Durch ihre Tante, die Französischlehrerin war, kam sie das erste Mal mit der französischen Sprache in Kontakt. „Als Kind besuchte ich die Familie meiner Tante oft in den Ferien“, erzählt sie. „Sie bekam häufig Besuch von einem befreundeten Französischlehrer. Ich verfolgte ihre Unterhaltung auf Französisch und wollte gerne mitreden, denn die Sprache kam mir unglaublich melodisch und schön vor. So fing es an!“
Christiane Monchaty lebt in Orléans in Frankreich. Ihre Liebe zu Deutschland hat sie unter anderem von ihrer Mutter, die in Deutschland geboren wurde. „Ich war 13 Jahre alt, sprach sehr wenig Deutsch und ging allein zur Familie meiner Mutter nach Schwäbisch Hall und dann in den Norden, in eine kleine Stadt namens Preetz. Ich war vom Essen überrascht, vor allem vom Abendbrot und dem Ein-Gang-Menü am Mittag. Ich liebte die Torten und das Eis. Nicht gefallen hat mir das Baden in der Ostsee, die fand ich kalt...“
Inge machte ihre ersten Erfahrungen mit Frankreich unweit von Orléans. 1983 radelte sie mit ihrer Schulklasse an der Loire entlang. „Damals war es recht mutig von unserer Französischlehrerin Frau Dr. Gabriele Peus, mit einer Horde Mädchen dort Rad zu fahren. Die Franzosen kannten das Rad als Freizeitverkehrsmittel noch nicht, es gab keine Fahrradwege und das Gehupe war laut und lang, wenn die Franzosen mit ihren R4s an uns vorbeisausten. Auch einige Fahrradpannen brachten unsere Lehrerin nicht aus der Ruhe. Ein Ziegenhof war unsere Unterkunft. Dort durften wir die kleinen Lämmer mit der Flasche versorgen und hatten sehr viel Spaß. Es ging weiter nach Paris, das erste Mal, eine beeindruckende Stadt für uns Vorstadtmädels aus Münster.“ Nach dem Abitur machte Inge ein Aupair-Jahr in Marseille.
Christiane ist ebenfalls schon viel in ihrem Nachbarland herumgekommen: Sie hat schon Berlin gesehen, München, wo sie 4 Jahre lang gearbeitet habe, das Rheintal, den Bodensee, Hamburg, im Osten Dresden und Leipzig, den Schwarzwald, und vieles mehr. Eines findet sie aber schade: „Ich bedaure, dass die Deutschen ihre Sprache nicht mehr verteidigen.“
Ihre Lieblingsstadt ist Berlin. „Das ist zwar nicht unbedingt der schönste, aber der interessanteste Ort in Deutschland!“, findet sie.
Inges Lieblingsorte in Frankreich sind Paris und die Coillure. Ihre Familie hat eine kleine Wohnung in Paris im Quartier Mouffetard, einem malerischen Viertel im fünften Arrondissement nahe dem Jardin du Luxemburg. Die Rue Muffetard bietet noch den mittelalterlichen Charme mit ihren zahlreichen Fisch-, Fleisch-, Gemüse-, Obstständen und Bäckereien sowie Cafés und Restaurants mit Sitzplätzen auf der Straße und vielen unterschiedlichen Kulturen. Inge weiß besonders die französische Kultur zu schätzen – sie sei vielfältig, voll inspirierender Kunst und begnadeten Künstlern, die im 19. Jahrhundert ihre inspirierenden Treffen in den Cafés des Quartier Latin in Paris hatten.
Sie denkt gerne an die Jeanne d‘Arc Feierlichkeiten 2018 in Orléans zurück, bei denen die Partnerstädte Orléans sehr im Fokus standen und sie mit den Vertretern der Städte aus vielen Ländern beim Umzug der Jungfrau von Orléans am 6. Mai durch Orléans Straßen ziehen durfte.
Die Deutsch-Französische Gesellschaft Münster e.V. wurde 1996 von einem in Münster lebenden Franzosen und einer Deutschen gegründet. Erst gab es Stammtische in unterschiedlichen Cafés und Bars in Münster, bei denen in großer Runde nur Französisch gesprochen wurde, dann entwickelte sich daraus eine Gesellschaft mit heute über 100 Mitgliedern. Der Verein bietet vielfältige französische Veranstaltungen, Konzerte, Sommerfeste mit französischer Musik, Museumsbesuche, Kinoabende, Weinproben, traditionelle französische Abende und Feste, wie zum Beispiel den Galette des Rois Abend, an. Für die Schüler aus Münster und der Partnerstadt Orléans gibt es einen Vorlesewettbewerb für die Gymnasien, Real- und Gesamtschulen Münsters. Die französischen Schüler aus Orléans nehmen während ihres zweiwöchigen Besuchs in Münster an dem Wettbewerb teil und lesen deutsche Texte. Es winken Geld- und Buchpreise für die Gewinner der unterschiedlichen Gruppen. Inge ist seit 1997 in der DFG und mittlerweile schon 21 Jahre Vorsitzende der Gesellschaft. „Durch die ständige Arbeit und den engen Kontakt mit Frankreich, insbesondere unseren Freunden aus der Partnerstadt Orléans, der Association Franco-Allemande d‘Orléans, konnte ich mein Französisch pflegen und vieles zum französischen Kulturangebot in Münster beitragen.“ Ihr ist es wichtig, die Kontakte zwischen den Partnerstädten zu fördern und viele Beziehungen zwischen der Bevölkerung von Orléans und Münster zu schaffen.
Die Association Franco-Allemande (AFA; deutsch-französische Gesellschaft) aus Orléans fördert seit mehr als 30 Jahren die deutsche Sprache und Kultur in Orleans und pflegt unter anderem durch Reisen und Treffen freundschaftliche Beziehungen zur Deutsch-Französischen Gesellschaft in Münster. Christiane ist seit 2016 Mitglied und seit 2017 Vorsitzende. „Mir gefällt es, den Kontakt zu Deutschland und der deutschen Sprache zu halten, aber auch auf unserer kleinen Ebene einen Beitrag zur deutsch-französischen Freundschaft und damit zum Frieden in Europa zu leisten“, erzählt sie. Der Verein bietet ein breites Spektrum an Aktivitäten an: Vorträge, Deutschunterricht, Spiele, Partys, Ausstellungsbesuche, Kino- und Theaterfahrten, Ausflüge nach Münster - und einen Stammtisch am ersten Mittwoch im Monat.
Jedes Jahr organisieren die AFA in Orléans und die DFG in Münster abwechselnd Reisen nach Orléans und nach Münster. „Es herrschen immer ein reger und guter Austausch und eine harmonische, unkomplizierte Atmosphäre“, findet Inge. Christiane war in diesem Rahmen 2019 zum ersten Mal in Orléans. „Ich war gerührt zu entdecken, wie viel Mühe sich die Mitglieder der DFG in Münster gegeben hatten, um uns zu empfangen, mit einem Programm kultureller Besichtigungen und einem schönen Sommerfest mit guten Künstlern und allen möglichen Spezialitäten zum Probieren.“
Zurzeit planen die beiden Vereine gemeinsam mit der Stadt Orléans und der Stadt Münster einen Fotowettbewerb in beiden Partnerstädten.
Die Gewinnerfotos aus beiden Städten werden an öffentlichen Orten in Münster und Orléans im August und September ausgestellt. Thema: Innovative und nachhaltige Mobilität in Münster und Orléans – Fortbewegung in unserer Stadt!
Inges Lieblichsausdruck auf Französisch? Nicht nur ihr Lieblingsparfum und ihr Lieblingswein, sondern auch ihr Lebensmotto heißen: "La vie est belle."
Christianes Lieblingswort auf Deutsch: Gemütlichkeit.
La ville de Münster est née en 793, après l’arrivée d’un missionnaire, Liudger, qui fonde le monastère « Mimigernaford » qui devient « Monasterium » en 1068 puis Münster, une ville à part entière vers 1170.
A cette époque, Münster connait son âge d’or, où elle devient une ville marchande. On peut encore le voir aujourd’hui à travers des noms de rues comme « Kuhviertel » (quartier des vaches) et « Salzstrasse » (Rue du sel).
Au 16ème siècle, le mouvement des anabaptistes se développe en Allemagne. Ils prennent le commandement de la ville de Münster en 1534.
En 1535, des résistants réussissent à prendre d’assaut la ville et à exécuter les responsables/meneurs des anabaptistes. Leurs corps sont enfermés dans des cages accrochées au clocher de l’église Saint Laurent pour décourager la population. Les cages en haut de la flèche néogothique de l'Eglise St Lambert sont encore là pour le rappeler.
De 1618 à 1648, la guerre de Trente Ans se déroule en Europe entre les catholiques et les protestants. C’est dans la salle de la paix de l’Hôtel de ville de Münster, le 24 octobre 1648, qu’est signé l’accord de paix de la Westphalie entre la France et le Saint empire Germanique mettant fin à la guerre de Trente Ans. C’est dans cette salle de la paix que le jumelage entre Orléans et Münster a été signé en 1960.
La trêve est de courte durée... Assiégée en 1660 par l'évêque Christoph Bernard de Galen, la ville est ensuite au cœur de la Guerre de Sept Ans, entre 1756 et 1763.
En 1773, l’Université de Münster est créée.
Sous le règne de Napoléon, Münster fait partie de la France sous le nom « Arrondissement de Münster » du « Département de Lippe » entre 1811 et 1813.
A partir de 1815, Münster devient la capitale de la nouvelle province de Westphalie du royaume de Prusse et le nouveau centre culturel de la région.
Puis, la seconde guerre mondiale n’épargne pas Münster : son centre-ville est détruit. La période de reconstruction commence après 1945...
Im Jahre 793 wird mit der Ankunft des Missionars Liudger ein Kloster an der Stelle des heutigen Münsters erbaut und gibt der Stadt somit ihren Namen: Aus dem lateinischen Wort „Monasterium“ (Kloster) entsteht um 1170 „Münster“.
Es folgt ab der Jahrtausendwende eine Entwicklung Münsters hin zu einer Handelsstadt, was noch heute an Straßennamen wie „Kuhviertel“ und „Salzstraße“ zu erkennen ist.
Im 16. Jahrhundert entwickelt sich die Bewegung der Täufer in Deutschland. Im Jahre 1534 übernehmen sie die Herrschaft in Münster.
Schließlich gelingt jedoch die Stürmung der Stadt im Jahre 1535, worauf hin die drei Anführer der Täufer hingerichtet werden. Ihre Leichen hängt man zur Abschreckung in Käfigen an den Turm der Lambertikirche, wo sie bis heute an der neugotischen Turmspitze zu sehen sind.
Von 1618 bis 1638 wütet der dreißigjährige Krieg in Europa, bei dem Katholiken und Protestanten einander bekämpfen. Die Friedensverhandlungen werden schließlich in Münster geführt, wo daraufhin am 24. Oktober 1648 der sogenannte „Westfälische Frieden“ geschlossen wird. Durch diesen Friedensvertrag erhält der Saal in dem alten Münsteraner Rathaus den Namen „Friedenssaal“, in dem auch 1960 die Städtepartnerschaft zwischen Orléans und Münster unterzeichnet wird.
Die Ruhe ist von kurzer Dauer… 1660 vom Bischof Christoph Bernhard von Galen belagert, befindet sich die Stadt daraufhin im Herzen des Siebenjährigen Krieges.
1773 wird die Universität von Münster gegründet.
Von 1806 bis 1813 gelangt Münster unter napoleonische Herrschaft und gehörte 1811 – 1813 als „Arrondissement Münster“ dem „Département Lippe“ in Frankreich an.
Ab 1815 wird es dann als Hauptstadt Westphalens neu gegründet und war auch das kulturelle Zentrum der Region.
Im zweiten Weltkrieg wird Münsters Altstadt durch Bombenangriffe der Alliierten fast vollständig zerstört. Nach 1945 beginnt die Zeit des Wiederaufbaus.
Trois fois par an, c'est « Send » à Münster - la plus grande fête foraine du Münsterland, qui attire chaque année près d'un million de visiteurs. Des forains de toute l'Allemagne viennent à Münster au printemps, en été et en automne pour présenter des manèges classiques tels que les grandes roues, les autos tamponneuses et les trains fantômes ; des manèges nostalgiques ; ou bien des manèges super modernes. De nombreux établissements gastronomiques proposent des rafraîchissements pendant la foire. Le jeudi, le Send offre une réduction de 30 % sur tous les manèges et les attractions de 14h à 23h. Il y a aussi un grand feu d'artifice le vendredi - au printemps et en automne, il commence vers 21 heures ou vers 22h30 selon la saison. Un tel feu d'artifice a été tiré pour la première fois dans le cadre du Send en 1968. Le site du festival, d'une superficie d'environ 32 000 mètres carrés, sur la Schlossplatz, est situé à proximité du centre-ville, sur la promenade verte, devant le décor pittoresque du château de Münster. On y trouve environ 210 forains et pour chaque édition, environ 1 800 forains postulent pour y participer !
Le nom "Send" vient du mot "synode", utilisé depuis le IXe siècle pour désigner la réunion semestrielle du clergé et des principaux représentants du diocèse. Probablement à partir du 11e siècle, le synode était suivi d'un marché. À l'époque, le Send n'avait lieu que deux fois par an, au printemps et à l’automne. La 1ère fête foraine d'été n'a été introduite qu'au XIXe siècle. Depuis la fête foraine d’automne 1578, l’épée du Send est exposée à l'hôtel de ville de Münster. La nuit de la fin de l'automne, le 24 octobre 2000, l'épée a cependant été volée. Jusqu’à ce jour, il n'existe aucune trace de l'original. À l'initiative du Maire Berthold Tillmann, une reconstitution de cette épée est accrochée à l'hôtel de ville depuis le printemps Send 2001.
La fête foraine d'automne de cette année aura lieu du 23 octobre au 31 octobre et la fête du printemps l'année prochaine du 19 mars au 27 mars 2022.
Dreimal im Jahr ist Send in Münster, der deutschen Partnerstadt von Orléans - die größte Kirmes im Münsterland, die Jahr für Jahr etwa eine Million Besucher anzieht. Schaustellerbetriebe aus der ganzen Bundesrepublik kommen im Frühling, im Sommer und im Herbst nach Münster, um klassische Fahrgeschäfte wie Riesenrad, Autoscooter und Karussells, Belustigungsgeschäften und Geisterbahnen, nostalgische oder auch supermoderne Schaugeschäften zu präsentieren. Viele gastronomische Betriebe sorgen für Stärkungsmöglichkeiten während desKirmesbesuchs. Am Donnerstag lockt der Send ganztägig von 14 bis 23 Uhr mit einer Ermäßigung von 30 Prozent bei allen Fahr- und Belustigungsgeschäften. Außerdem gibt es ein freitags großes Feuerwerk - im Frühjahr und im Herbst beginnt es ca. 21 Uhr, beim Sommersend ca. 22.30 Uhr. Ein solches Feuerwerk wurde im Rahmen des Sends erstmals 1968 gezündet. Der ca. 32.000 qm große Festplatz auf dem Schlossplatz ist nah zur Innenstadt an der grünen Promenade vor der malerischen Kulisse des Münsteraner Schlosses gelegen. Zum Send finden sich etwa 210 Schaustellerbetriebe hier ein. Tatsächlich bewerben sich aber für jeden Send etwa 1800 Schaustellerbetriebe!
Der Name „Send“ kommt von dem Wort „Synode“, mit der seit dem 9. Jahrhundert die zweimal jährlich gehaltene Versammlung der Geistlichen und der führenden Vertreter des Bistums bezeichnet wurde. Vermutlich ab dem 11. Jahrhundert schloss sich an die Synode ein Markt an. Zu dieser Zeit fand der Send nur zweimal im Jahr statt, im Frühjahr und im Herbst. Der Sommersend wurde erst im 19. Jahrhundert eingeführt. Seit dem Herbstsend von 1578 wird das sogenannte am münsterschen Rathaus ausgehängt. In der Herbstsendnacht auf den 24. Oktober 2000 wurde das Sendschwert allerdings entwendet. Bis heute fehlt von dem Original jede Spur. Auf Veranlassung von Oberbürgermeister Berthold Tillmann hängt seit dem Frühjahrssend 2001 eine Rekonstruktion am Rathaus.
Der Herbst-Send wird dieses Jahr voraussichtlich vom 23. Oktober bis zum 31. Oktober stattfinden, der Frühjahrssend nächstes Jahr vom 19. März bis 27. März 2022.
Depuis plusieurs centaines d'années, des gardiens sont en poste dans la tour de Saint-Lamberti. La première mention documentée d'un tel gardien date de 1383. 631 ans plus tard, la première femme a travaillé à ce poste. Martje Saljé est la « Türmerin » (gardienne de la tour) de St. Lamberti depuis janvier 2014.
Traditionnellement, le « Türmer » est un employé de la ville et non de l'église. Alors qu'à la fin du Moyen Âge et jusqu'au début de l'ère moderne, ce métier était considéré comme "malhonnête", dans le sens de "sans statut", aujourd'hui, les habitants de Münster sont fiers de leurs « Türmer » et de leur longue tradition.
Aujourd'hui encore, l'une des tâches de la Türmerin consiste à surveiller les incendies depuis le clocher de l'église Saint-Lamberti, à une hauteur de 75 mètres. Elle signale immédiatement tout incendie qu'elle voit aux pompiers, avec lesquels elle est en contact par téléphone.
Une autre tâche de la gardienne de la tour, qui peut être entendue de loin, est le "toot". Toutes les demi-heures, entre 21 heures et minuit, sauf le mardi, le cor du Türmer retentit, une réplique de 1950 du cor traditionnel du 16e siècle. Le signal horaire retentit dans toutes les directions : Prinzipalmarkt (rue principale de Münster) et le puit de Lambertus au sud, le Domplatz à l'ouest, Drubbel au nord... Il existe une légende sur la quatrième direction du vent, l'est, selon laquelle il y avait autrefois un cimetière à cet endroit. « Et, comme nous le savons tous, il ne faut pas déranger le lieu de repos des morts, sinon des choses effrayantes comme dans la "Danse de la mort" de Goethe finiront par se produire », explique Martje Saljé avec un clin d'œil.
Avant de devenir la Türmerin de St. Lamberti, Martje Saljé a étudié la musique et l'histoire. Aujourd'hui, elle fait revivre un pan de l'histoire de la ville grâce à la corne de cuivre et à son travail. Dans le même temps, la modernité a également fait son entrée dans la salle de la tour, sous la forme d'Internet. La Türmerin écrit un blog. Elle permet ainsi aux lecteurs intéressés de participer à son travail sur le clocher de l'église Saint-Lamberti, du moins virtuellement. Pour des raisons d'assurance, les visites publiques ne sont malheureusement pas possibles.
In der Turmstube von St. Lamberti versehen seit vielen hundert Jahren Türmer ihren Dienst. Erstmals urkundlich erwähnt wurde ein solcher Turmwächter 1383. 631 Jahre später arbeitet die erste Frau auf diesem Posten. Martje Saljé ist seit Januar 2014 die Türmerin von St. Lamberti.
Traditionell ist der Türmer ein Angestellter der Stadt und nicht der Kirche. Galt der Beruf im ausgehenden Mittelalter bis in die frühe Neuzeit als "unehrlich", im Sinne von "ohne ständisches Ansehen", so sind die Münsteraner heute stolz auf ihren Türmer und die lange Tradition.
Auch heute noch gehört es zu den Aufgaben der Türmerin, aus 75 Metern Höhe vom St. Lamberti-Kirchturm nach Bränden Ausschau zu halten. Eventuell gesichtete Feuer meldet sie sofort der Feuerwehr, mit der die Turmstube telefonisch in Verbindung steht.
Eine weitere und weithin hörbare Aufgabe der Türmerin ist das "Tuten". Zwischen 21 Uhr und Mitternacht erklingt täglich außer dienstags jede halbe Stunde das Türmer-Horn, ein Nachbau von 1950 des altehrwürdigen Horns aus dem 16. Jh. Das Zeitsignal wird jeweils in alle Himmelsrichtungen getutet: Prinzipalmarkt und Lambertusbrunnen im Süden, Domplatz im Westen, Drubbel im Norden... Um die vierte Windrichtung, Osten, rankt sich die Legende, es habe dort einmal ein Friedhof gelegen. "Und die Totenruhe soll man ja bekanntlich nicht stören, sonst geschehen am Ende noch ähnlich gruselige Dinge wie in Goethes 'Totentanz'", erklärt Martje Saljé mit einem Augenzwinkern.
Bevor sie Türmerin von St. Lamberti wurde, hat Martje Saljé Musik und Geschichte studiert. Jetzt hält sie mit dem Kupferhorn und ihrer Arbeit ein Stück Stadtgeschichte lebendig. Zugleich hat mit ihr auch die Moderne Einzug in die Turmstube gehalten – in Form des Internets. Die Türmerin schreibt ein Blog. Auf diese Weise lässt sie auch die interessierte Leserschaft an ihrer Arbeit auf dem St. Lamberti-Kirchturm teilhaben – zumindest virtuell. Denn aus versicherungsrechtlichen Gründen sind öffentliche Führungen leider nicht möglich.
Depuis plus de deux décennies la « Villa ten Hompel » est renommée en tant que lieu historique de Munster. La villa est également connue pour ses actions pédagogiques en direction des jeunes en matière de lutte contre l’extrémisme. En effet, la Villa est un ancien site de l’administration nationale-socialiste depuis lequel de nombreux des crimes nationalistes ont été commandités pendant le troisième Reich. Aujourd’hui la Villa ten Hompel, située au Kaiser-Wilhelm-Ring à Munster, ne sert pas seulement de mémorial, elle propose aussi des expositions aux visiteurs.
En remontant l’histoire, on apprend que la Villa a été construite en 1928 par le grand industriel Rudolf ten Hompel, un des citoyens les plus riches de la ville et propriétaire de l’entreprise de ciment « Wicking-Werke ». A l’époque, la Villa était un lieu plébiscité pour ses fêtes et réceptions compte tenu de son luxe et de sa grandeur. Après la crise d’économique au début des années 1930, la Villa a été réquisitionnée par le « Reichsfiskus », la ville, qui en est toujours propriétaire aujourd’hui.
Au début 1940, la Villa est entrée dans le tournant dans son histoire. L’administration l’a prise comme quartier général pour organiser des crimes nationalistes comme la persécution des juifs, l’observation des ghettos ou des déportations. Leurs victimes étaient toutes des personnes qui ne faisant pas partie du « Volksgemeinschaft », par exemple les juifs, les handicapés ou les Tsiganes.
Bien que la Villa n’a pas elle-même été le théâtre de crimes, son rôle dans leur organisation fut assez important pendant la deuxième guerre mondiale. C’est pourquoi on appelle aussi ces policiers du troisième Reich les « bureaucrates assassins ».
Après la guerre, la police de l’eau s’est installée dans la villa. Elle a été également mise à disposition des alliés pour y établir un centre de dénazification qui leur permettait de faire condamner les nazis en fonction de leur degrés de culpabilité, par exemple « Suiveur » ou « coupable ».
Dans les années suivantes, entre 1954 et 1968, la Villa est devenu le département des réparations. Les victimes du crime nationale-socialiste pouvaient demander des dédommagements.
En 1999 la ville de Munster a décidé d’établir un mémorial dans les locaux de la Villa où la formation des jeunes joue un rôle important. Des séminaires de la police ou de la justice se passent aussi souvent sur place. En outre, le mémorial coopère avec diverses organisations et institutions à l’étranger, par exemple avec le CERCIL à Orléans car il existait une collaboration entre la France et l’Allemagne pendant la guerre. En coopérant avec le Cercil à Orléans, la Villa ten Hompel met l’accent sur une assimilation collective du passé.
Aujourd’hui, la villa souhaite sensibiliser ses visiteurs sur l’histoire avec des expositions ou des séminaires. D’ailleurs, on y trouve le conseil de lutte contre l’extrémisme.
A côté de cela, l’action pédagogique joue un rôle assez important dans le musée. « Dans toutes nos actions il est important pour nous d’échanger avec les participants et de nous adapter au public. Alors se pose aujourd’hui la question des leçons que nous pouvons tirer de l’histoire » raconte Sommerer, la volontaire à la Villa. « Pour nous, les rapports à l’histoire sont importants mais aussi l’histoire récente, » d’après elle.
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Seit mehr als zwei Jahrzenten hat sich die « Villa ten Hompel » einen Namen als Gedenkstätte in Münster gemacht. Gleichermaßen ist sie aber inzwischen auch als Ort der Prävention und der politischen Bildung für Jugendliche bekannt. Das lässt sich darauf zurückführen, dass die Ordnungspolizei zu der Zeit des Nationalsozialismus ihren Sitz in der Villa hatte. Daher steht diese in enger Verbindung zu zahlreichen Verbrechen während des zweiten Weltkrieges. Heutzutage dient die Villa Ten Hompel am Kaiser-Wilhelm-Ring nicht nur als Gedenkstätte, sondern bietet zudem polizei-interne Seminare und Ausstellungen für Besucher an.
Wenn man in der Geschichte der Villa zurückblickt, stellt man fest, dass die Villa bereits im Jahr 1928 im Besitz des Großindustriellen Rudolf ten Hompel, einem der wohlhabendsten Männer Münsters und Eigentümer des Zementunternehmens „Wicking-Werke“, konstruiert wurde. Damals war die Villa wegen ihrer Größe und Luxurität ein gern besuchter Ort für Festlichkeiten und Empfänge. Nach der Wirtschaftskrise im Jahr 1930 wurde die Villa jedoch des Privatbesitzes enteignet und gehörte von nun an dem „Reichsfiskus“. Seitdem ist sie im städtischen Eigentum.
Der Beginn des Jahres 1940 stellte einen Wendepunkt in der Geschichte der Villa dar. Die Ordnungspolizei nutzte die Villa als ihr Hauptquartier in Nordrhein-Westfalen und organisierte von dort aus nationalsozialistische Verbrechen, wie beispielsweise die Judenverfolgung, die Bewachung von Ghettos oder auch Deportationen. Zu den Opfern der Verbrechen zählten all diejenigen, die nicht Bestandteil der „Volksgemeinschaft waren“, zum Bespiel Juden, Behinderte oder Sinti und Roma. Obwohl die Villa nicht selbst Blut vor Ort vergossen hat, trägt sie in ihrer Rolle als Organisator und Beobachter eine vermeintliche Rolle bei den Verbrechen. Aus diesem Grund wird die Ordnungspolizei in der Villa ten Hompel heutzutage auch als „Schreibtischtäter“ betitelt.
Nach dem Krieg nahm die Wasserschutzpolizei ihren Sitz in der Villa ein. Hinzu kam die Bestimmung der Alliierten, die Villa zu einem Ort der Entnazifizierung umzuformen. Dabei wurden die Täter nach verschiedenen Schuldgraden eingeteilt und folglich bestraft.
In den folgenden Jahren, zwischen 1954 und 1968, wurde die Villa zum Dezernat der Wiedergutmachung. Die Geschädigten der nationalsozialistischen Verbrechen konnten in Folge dessen Reparationszahlungen verlangen, wobei es sich allerdings um ein ziemlich bürokratisches Vorgehen handelte.
Im Jahr 1999 hat die Stadt Münster sich dazu entschieden, die Villa in eine Gedenkstätte zu transformieren. An oberster Stelle stehen nun die politische Bildung sowie polizei- und juristisch-interne Fortbildungen. Darüber hinaus, kooperiert die Villa mit zahlreichen Vereinen und auch ausländischen Institutionen, wie beispielsweise dem CERCIL in Orléans. Grund dafür war die deutsch-französische Zusammenarbeit bei den nationalsozialistischen Verbrechen. Die Zusammenarbeit der Institutionen spiegelt den Wunsch nach einer kollektiven Aufarbeitung der Vergangenheit wider.
Heutzutage verfolgt die Villa insbesondere die Intention, Besuchern die Vergangenheit durch Ausstellungen und Führungen nahe zu bringen. Zudem befindet sich vor Ort auch die mobile Beratung gegen Rechtsextremismus.
Im Weiteren spielt die politische Bildung für Jugendliche eine wichtige Rolle. „In all unseren Bildungsformaten ist es uns wichtig, mit den Teilnehmenden ins Gespräch zu kommen und an ihre Lebenswelt und die Gegenwart anzuknüpfen. So stellt sich die Frage: wieso ist diese Geschichte für uns heute relevant, was hat das mit mir zu tun und welche Lehren können wir aus der Geschichte ziehen?“ erzählt Kim-Eileen Sommerer, die Volontärin in der Villa. „ Wichtig sind für uns aber auch aktuelle Bezüge oder die jüngere Geschichte“, berichtet Sommerer.
La Saint-Martin est célébrée le 10 ou 11 novembre en souvenir de Saint-Martin de Tours. Cette date correspond à la mise au tombeau de Martin. Depuis la fin de la Première Guerre Mondiale, elle est fêtée le 10 novembre en Flandre et en Belgique.
La Saint-Martin est un jour férié religieux dans quelques pays, par exemple en Allemagne. Fidèle à la tradition, les enfants font des défilés avec des lampions qu’ils ont fabriqués eux-mêmes et chantent des chansons. Les enfants sont souvent accompagnés par un cheval blanc pendant les défilés. Le cheval est monté par un cavalier portant un manteau rouge. Il représente Saint-Martin. Puis on rejoue une légende du Moyen Age dans laquelle le cavalier coupe son manteau et en donne une moitié à un mendiant dans la rue. La légende est rejouée pour enseigner aux enfants de la charité.
Dans l’histoire la Saint-Martin a eu diverses significations : dernier jour du carême, fin de l’année pour les paysans. Depuis le 20ième siècle, c’est l’occasion pour les enfants d’organiser un spectacle et de mettre en avant l’entraide entre les personnes.
Aujourd’hui, il existe diverses coutumes en Europe central, surtout en Allemagne, en Autriche, en Belgique ou en Suisse. Il est accoutumé de manger des oies rôties ou des pâtisseries spéciales comme le « Weckmann » ou le « Stutenkerl ».
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Der Martinstag wird am 10. oder 11 November in Gedenken an Sankt-Martin von Tours gefeiert. Bei dem Datum handelt es sich seinen Todestag im Jahr 397. Seit dem Ende des ersten Weltkriegs wird der Martinstag allerdings in einigen Regionen, wie in Flandern, am 10. November gefeiert.
Sankt-Martin wurde im Jahr 316 im römischen Imperium geboren und stellt einen der heiligsten Gläubigen im Christentum dar. Er ist vor allem als Bischof von Tours in der Gesellschaft bekannt, zumal er sich durch das Renommieren von Kirchen einen Namen machte. Der Martinstag ist in einigen Ländern, zum Beispiel in Deutschland, ein gebotener Feiertag. Eine bekannte Tradition ist der Martinsumzug, bei dem Kinder und ihre Eltern mit Laternen durch die Straßen ziehen. Diese werden im Voraus selbst hergestellt und individuell gestaltet. Während des Umzugs werden Lieder gesungen, die an den Heiligen Martin gedenken. Außerdem ist es gemäß der Tradition üblich, dass die Umzüge von einem weißen Schimmel begleitet werden. Auf dem Schimmel befindet sich ein Reiter mit einem roten Umhang. Er repräsentiert Sankt-Martin, den römischen Soldaten. Im Laufe des Umzugs wird eine Legende des Mittelalters nachgespielt, in welcher der Soldat seinen Mantel teilt, um die andere Hälfte einen Bettler zu schenken. Dadurch sollen Werte, wie beispielsweise Hilfsbereitschaft und Nächstenliebe, vermittelt werden. Seit Oktober 2017 steht die Legende des Sankt-Martins unter immateriellen Denkmalschutz der UNESCO.
Die Bedeutung des Martinstags unterscheidet sich heutzutage von der Üblichen. Zu Beginn, war der 11. November der letzte Tag vor der Fastenzeit in den orthodoxen Kirchen. Ein wenig später stellte der Martinstag das Ende des Wirtschaftsjahres der Bauern dar. Daher gab es unter anderem auch andere Bräuche, wie zum Beispiel das Schlemmen oder große Feuer. Im Laufe des 20. Jahrhunderts, der Zeit der Aufklärung, nahm der 11. November wiederum eine neue Bedeutung an. Kirchen, Eltern und Schulen übernahmen überwiegend die Initiative bei der Organisation des Feiertags. Daher wurden erzieherische Werte mehr in den Vordergrund gestellt. Der Ursprung des Wandels ist die Rheinregion in Deutschland.
Heutzutage existieren zahleiche Bräuche in Europa, vor allem in Deutschland, in Österreich, in Belgien oder in der Schweiz. Es ist zum Beispiel traditionell an Sankt-Martin eine Martinsgans oder spezielle Backwaren, wie den Weckmann oder den Stutenkerl zu verzehren.
Münster est une ville du cyclisme. Vous trouverez des vélos à tous les coins de rue. Il existe de nombreuses pistes cyclables, telles que la Promenade, également appelée autoroute des cyclistes. Les vélos sont particulièrement populaires parmi les étudiant.e.s.
Münster ist eine Fahrradstadt. An jeder Straßenecke findet man Fahrräder. Es gibt auch sehr viele Fahrradwege in der Stadt, wie zum Beispiel die Promenade, die auch Fahrrad-Autobahn genannt wird. Besonder beliebt sind die Fahrräder bei den Student*innen in Münster.
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L'exposition itinérante « Les résistances allemandes au nazisme à Münster et dans le Münsterland » est réalisée par le CERCIL, l’association Franco-Allemande d’Orléans et la Villa Hompel.
Exposition organisée par la Mairie d’Orléans en partenariat avec la Mairie de Münster, l’Association Orleans-Münster, l’association Franco-Allemande d’Orléans, le lycée Paul Gauguin, la Musique Municipale d’Orléans et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat Loiret.
A noter : Cette exposition sera visible également à l’Hôtel Groslot – place de l’Etape à Orléans (salle Cracovie) du 4 au 26 septembre 2021 (sous réserve des conditions sanitaires en vigueur).
Noël est une fête familiale qui est célébrée avec diverses coutumes et traditions en Allemagne. De plus, le temps de l’Avent et de Noël sont une période d’espoir pour beaucoup de gens.
Pour se mettre dans l’ambiance de la fête, les traditions de Noël commencent déjà au début de décembre. A partir du 1er jusqu’à 24 décembre, les enfants peuvent ouvrir les petites portes de leurs calendriers de l’Avent chaque jour. On y trouve du chocolat ou même des petits cadeaux. Le 6 décembre, c’est le jour de la Saint-Nicolas. Les enfants nettoient leurs bottes la veille afin de recevoir des bonbons ou des fruits de Saint Nicolas.
S’ajoute à cela une autre tradition typique allemande : dès le début de l’Avent, on met une couronne faite des branches de sapin avec quatre bougies à la table. Chaque dimanche on allume une bougie. Si toutes les bougies sont allumées, on est très près de Noël.
Pendant le mois de décembre, les marchés de Noël sont des lieux très visités en Allemagne. Ils font partie de la culture allemande depuis le début du XXème siècle. Les coutumes traditionnelles allemandes pour Noël tournent autour des spécialités locales, de l'artisanat, des manèges anciens, du théâtre, des crèches vivantes et des chansons de Noël.
Peu de temps avant le 24 décembre, l’arbre de Noël est installé. Il est décoré avec des boules de Noël, des guirlandes et autres objets de décoration.
Le 24 décembre, c’est le soir de Noël. Avant de manger on distribue des cadeaux. Pour le repas, il est traditionnel en Allemagne de manger une oie rôtie avec la salade ou des de pommes de terre. Un autre plat typique : les boulettes de pomme de terres avec du chou rouge. La raclette est aussi un plat apprécié. La plupart des allemands font de la raclette au soir de Noël ou à la veille de Nouvel An. Comme dessert, il y a des pâtisseries de Noël comme les biscuits.
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Weihnachten ist ein Familienfest, das in Deutschland mit zahlreichen Traditionen und Bräuchen zelebriert wird. Zudem ist die Advents- und Weihnachtszeit für viele Menschen eine Zeit der Hoffnung.
Um sich auf Weihnachten einzustimmen, beginnen viele der Weihnachtstraditionen bereits Anfang Dezember. Vom 1. bis zum 24. Dezember können die Kinder jeden Tag eine Tür ihres Adventkalenders öffnen, in welchem sich beispielsweise Schokolade oder auch kleine Geschenke befinden. Am 6. Dezember ist der Nikolaustag. Am Abend zuvor putzen die Kinder ihre Stiefel, damit der Nikolaus ihnen in der Nacht Schokolade, Mandarinen oder Bonbons in ihre Stiefel legt.
Eine weitere typisch deutsche Weihnachtstradition ist der Adventskranz. Dieser wird zu Beginn des Dezembers auf den Tisch gestellt und mit Tannenzweigen und vier Kerzen dekoriert. Jeden Sonntag wird eine Kerze auf dem Kranz angezündet. Wenn alle vier Kerzen brennen, ist Weihnachten nicht mehr fern.
Auch die Weihnachtsmärkte sind im Dezember ein stark besuchter Ort in Deutschland. Seit Anfang des 20. Jahrhunderts sind Weihnachtsmärkte sind ein Bestandteil der deutschen Kultur. Die traditionellen Bräuche drehen sich rund um lokale Spezialitäten, Handwerke, Karusselle, Krippenspiele und Weihnachtslieder.
Kurze Zeit vor Weihnachten wird der Weihnachtsbaum aufgestellt. Dieser wird mit Weihnachtskugeln, Girlanden, Lichtern und anderen Dekorationen verziert.
Der 24. Dezember ist der Heilige Abend. Vor dem Essen ist es üblich, dass die Bescherung stattfindet. Ein traditionelles deutsches Essen am Heiligen Abend ist zum Beispiel Kartoffelsalat mit einer gebratenen Gans. Ein anderes typisches Gericht sind Klöße mit Rotkohl und einer Gans. Auch das Raclette ist ein beliebtes Gericht während der Feiertage, welches von vielen Familien entweder an Weihnachten oder Silvester zubereitet wird. Als Nachtisch werden dann häufig selbstgemachte Weihnachtsplätzchen serviert.
Während des Abends musizieren viele Familien gerne zusammen und singen deutsche traditionelle Weihnachtslieder. Am 25. und 26. Dezember findet schließlich das Festessen mit Verwandten und Freunden statt, bei dem die Gemeinschaft an erster Stelle steht.
Le 22 janvier 1963, De Gaulle et Adenauer signent à Paris le traité de l'Élysée sur la coopération franco-allemande. Cela fait des anciens ennemis de la Seconde Guerre mondiale les partenaires les plus importants en Europe. Un signe important de cette amitié, encore connue aujourd'hui, a été donné par François Mitterrand et le chancelier Helmut Kohl lorsqu'ils ont commémoré ensemble, main dans la main, les victimes françaises et allemandes de la Seconde Guerre mondiale à Verdun le 22 septembre 1984. Le 7 février 1992 le traité de Maastricht sur l'Union économique et monétaire européenne est signé, largement impulsé par Mitterrand et Kohl. Le 50e anniversaire du traité de l'Élysée en 2013 a été commémoré par les deux pays avec une session conjointe du Bundestag et de l'Assemblée nationale française à Berlin et de nombreux autres événements festifs. Pour marquer le 55e anniversaire du traité de l'Élysée en 2018, les parlements des deux pays proposent un nouveau traité d'amitié. La chancelière allemande Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron signeront finalement le traité d'Aix-la-Chapelle le 22 janvier 2019, complétant ainsi le traité de l'Élysée scellé par le chancelier Konrad Adenauer et le président français Charles de Gaulle il y a 56 ans jour pour jour.
Am 22. Januar 1963 unterzeichnen De Gaulle und Adenauer in Paris den Elysée-Vertrag zur deutsch-französischen Zusammenarbeit. Damit werden die früheren Weltkriegs-Feinde zu den wichtigsten Partnern in Europa. Ein bis heute bekanntes, wichtiges Zeichen für diese Freundschaft setzten François Mitterrand und Bundeskanzler Helmut Kohl, als sie am 22. September 1984 gemeinsam Hand in Hand in Verdun an die französischen und deutschen Weltkriegs-Opfer erinnerten. Am 7. Februar 1992 wird der Maastricht-Vertrages zur europäischen Wirtschafts- und Währungsunion unterzeichnet, die maßgeblich von Mitterrand und Kohl vorangetrieben wurde. Den 50. Jahrestag des Elysée-Vertrags im Jahre 2013 würdigen beide Länder mit einer gemeinsamen Sitzung von Bundestag und französischer Nationalversammlung in Berlin und zahlreichen anderen Festveranstaltungen. Zum 55. Geburtstag des Elysée-Vertrags 2018 schlagen die Parlamente beider Länder einen neuen Freundschaftsvertrag vor. Bundeskanzlerin Angela Merkel und Frankreichs Präsident Emmanuel Macron unterzeichnen den Vertrag von Aachen schließlich am 22. Januar 2019. Er ergänzt den Elysée-Vertrag, den Kanzler Konrad Adenauer und der französische Staatschef Charles de Gaulle auf den Tag genau vor 56 Jahren besiegelt hatten.
Dans le cadre du 61e anniversaire du jumelage entre Orléans et Münster, 14 collégiens du Conseil municipal des jeunes d’Orléans et 14 jeunes de la Maison Bennohaus de Münster se sont lancés dans le projet « une planète – une amitié – une (é)mission ». Chaque mois, de mars à septembre 2021, chaque groupe réalise une courte vidéo présentant une action innovante de leur ville dans l’un des cinq thèmes du développement durable suivant : la mobilité, l’eau, les déchets, l’énergie et la biodiversité.
Traduites en allemand et en français, les vidéos sont ensuite diffusées sur les réseaux sociaux et sites internet de chaque ville.
Après une première rencontre en visioconférence le 10 mars dernier, les jeunes échangeront de nouveau à distance en juin puis, si la situation sanitaire le permet, se rencontreront véritablement en septembre prochain lors du Festival de Loire, à Orléans.
Ce projet est soutenu financièrement par l’Office Franco-Allemand pour la Jeunesse et par les deux Mairies d’Orléans et de Münster. Le tournage des vidéos à Orléans est réalisé avec la participation du C.R.I.J.
> https://www.orleans-metropole.fr/actualites/detail/orleans-muenster-anniversaire-en-vue
Im Rahmen des 61-jährigen Jubiläums der Städtepartnerschaft zwischen Orléans und Münster, wagen sich 14 Jugendliche des Jugendrats in Orléans und 14 Jugendliche des Bennohauses in Münster an das Projekt „Ein Planet – eine Freundschaft – eine (E)mission“. Jeden Monat, von März bis September, setzen die Jugendlichen für ein Online-Journal ein kurzes Video um, in dem sie eine innovative Aktion in ihrer Stadt aus einem der fünf ausgewählten Themen zur nachhaltigen Entwicklung, vorstellen: Mobilität, Wasser, Abfall, Energie und Artenvielfalt.
Auf Deutsch und Französisch übersetzt werden die Videos dann auf den sozialen Netzwerken und Internetseiten der beiden Städte veröffentlicht.
Nach einem ersten Treffen per Videokonferenz am 10. Mai, werden sich die Jugendlichen erneut im Juni online treffen, um sich dann – wenn die sanitäre Situation es zulässt – sich im kommenden September zum Loire-Festival in Orléans richtig zu treffen.
Das Projekt wird finanziell vom deutsch-französischen Jugendwerk und den Rathäusern der beiden Städte Orléans und Münster unterstützt. Das Drehen der Videos wird durch die Teilnahme des C.R.I.J. umgesetzt.
> https://www.ostviertel.ms/2021/04/12/der-planet-in-deinen-haenden-mobilitaet/
À l'origine, l'échange municipal d'étudiants entre les villes jumelles d'Orléans et de Münster était organisé par les administrations municipales. Au début des années 1990, l'organisation a été confiée directement aux enseignant.e.s regroupé.e.s au sein des associations Orléans-Münster et Orléans Team, car ils ont un contact plus étroit avec les élèves. Des modifications ont également été apportées au contenu des échanges. Par exemple, un cours de langue a été mis en place et différents supports interculturels ont été élaborés et mis à la disposition des participant.e.s à l'échange. Le programme sur place était également plus fortement orienté vers les souhaits des jeunes. Depuis 1993, Manfred Ossege dirige le « Orléans Team » à Münster, qui organise l'échange. A Orléans, c'est René Soulé-Péré qui est responsable de l'échange d'étudiants au sein de l'association Orléans-Münster.
Aujourd'hui, les échanges se caractérisent par quatre éléments principaux :
Les avantages pour les jeunes sont nombreux : "Il ne s'agit plus seulement d'amitié franco-allemande, mais du développement d'une conscience européenne", déclare Monsieur Ossege. "Les jeunes apprennent à connaître un autre jeune, une autre famille et un autre pays d'Europe en contact direct. Ils doivent s'impliquer, s'adapter, s'ouvrir. Un échange d'étudiants n'est pas un séjour de vacances dans un hôtel, mais un véritable échange culturel. Lors d'un échange scolaire, les jeunes font de nombreuses nouvelles expériences, éprouvent beaucoup de joie et d'amitié, mais doivent aussi parfois faire face à des désaccords si l’atmosphère entre les participant.e.s n'est pas bonne."
La philosophie de l'échange a quelque peu changé depuis les années 1980, trouve Monsieur Ossege. "Au début, l'idée de réconciliation et de compréhension après la Seconde Guerre mondiale était encore au premier plan", dit-il. "Mais ensuite, l'échange s'est orienté de plus en plus vers des rencontres interculturelles et individualisées." L'échange communal a lieu chaque année à Münster pendant les vacances d'hiver françaises (février/mars) et à Orléans pendant les vacances de Pâques allemandes (mars/avril), chacun pendant 15 jours. Le nombre de participants varie de 18 à 45. Selon Monsieur Ossege, on ne sait pas encore ce qui se passera après la pandémie de la Covid-19. Les participant.e.s d'Orléans étaient encore à Münster en février 2020. Cependant, la visite de retour des Münsterois.es est toujours en attente. "Nous aimerions que la visite ait lieu pendant les vacances d'automne de cette année, mais nous ne savons pas si la situation de pandémie et la décision de l'Académie d'Orléans le permettront en France."
Manfred Ossege a de nombreux souvenirs différents et passionnants qu'il a pu recueillir au fil des ans grâce à l'échange scolaire. "Au cours de chacune des deux dernières années, nous nous sommes rendus au musée RocknPop de Gronau avec les Français. Quoi de mieux que de voir de jeunes Français chanter des ‘chansons allemandes’ comme ‘Marmor, Stein und Eisen bricht, aber unsere Liebe nicht’ (Le marbre, la pierre et le fer se brisent, mais pas notre amour) et s'amuser vraiment", nous dit-il.
Malheureusement, la poursuite de l'échange entre Münster et Orléans est fragile. Des deux côtés, il y a le vieillissement des responsables des deux associations, mais également le manque de nouveaux bénévoles.
Ursprünglich wurde der kommunale Schüleraustausch zwischen den Partnerstädten Orléans und Münster über die Stadtverwaltungen organisiert. Anfang der 90er Jahre wurde die Organisation dann in die Hände von Lehrerinnen und Lehrern gelegt, da diese einen näheren Kontakt zu den Schülerinnen und Schülern haben. Dadurch wurden dann aber auch inhaltliche Änderungen vorgenommen. Zum Beispiel wurde ein Sprachkurs eingerichtet und unterschiedliche interkulturelle Materialien wurden erarbeitet und den am Austausch Teilnehmenden zur Verfügung gestellt. Auch das jeweilige Programm vor Ort erfuhr eine stärker an den Wünschen der Jugendlichen ausgerichtete Gestaltung. Seit 1993 leitet Manfred Ossege das Orléans-Team in Münster, das den Austausch organisiert. In Orléans ist es René Soulé-Péré, der in der Association-Orléans-Münster für den Schüleraustausch zuständig ist.
Kennzeichnend für das Austauschkonzept sind heute vier Bausteine:
Dabei ergeben sich jede Menge Vorteile für die Jugendlichen: „Es geht nicht mehr nur um die deutsch-französische Freundschaft, sondern um die Entwicklung eines europäischen Bewusstseins.“, findet Herr Ossege. „Die Jungen Menschen lernen in direktem Kontakt einen anderen jungen Menschen, eine andere Familie und ein anderes Land in Europa kennen. Sie müssen sich einlassen, anpassen, sich öffnen. Ein Schüleraustausch ist kein Ferienaufenthalt in einem austauschbaren Hotel in einem austauschbaren Land, überall gleich und meist auch gleich langweilig. Beim Schüleraustausch machen die Jugendlichen zahlreiche neue Erfahrungen, erleben viel Freude und Freundschaft, müssen aber auch manchmal mit Unstimmigkeiten umgehen, wenn die Chemie zwischen den Beteiligten nicht stimmt.“
Die Motivation für die Umsetzung des Austauschs hat seit den 80er-Jahren etwas verändert, findet Herrn Ossege. „Zu Beginn stand immer noch der Versöhnungs- und Verständigungsgedanke nach dem zweiten Weltkrieg im Vordergrund“, erzählt er. „Dann aber lief der Austausch immer mehr in Richtung interkultureller und individualisierter Begegnung.“ Der kommunale Austausch findet jährlich in den französischen Winterferien (Februar/März) in Münster und in den deutschen Osterferien (März/April) in Orléans statt, jeweils für 14 Tage. Die Teilnehmerzahlen bewegten sich zwischen 18 und 45 Teilnehmenden. Wie es nach Corona weitergeht, sei zurzeit unklar, sagt Herr Ossege. Die Orléanesen waren im Februar 2020 noch in Münster. Es steht aber noch der Gegenbesuch der Münsteraner aus. „Wir wünschen uns den Besuch in den diesjährigen Herbstferien, wissen aber nicht, ob die Pandemielage und die Entscheidung der Académie d’Orleans das in Frankreich erlauben.“
Manfred Ossege denkt an viele verschiedene, spannende Erinnerungen zurück, die er im Laufe der Jahre durch den Schüleraustausch sammeln konnte. „In den letzten beiden Jahren sind wir mit den Franzosen jeweils in das RocknPop-Museum nach Gronau gefahren. Was gibt es Schöneres zusehen als dass junge Französinnen und Franzosen ‚deutsches Liedgut‘ wie ‘Marmor, Stein und Eisen bricht, aber unsere Liebe nicht’ singen und dabei richtig Spaß haben.“, erzählt er uns.
Unklar sei leider grundsätzlich die Weiterführung des Austausches zwischen Münster und Orléans. Auf beiden Seiten spielt die Überalterung der Verantwortlichen eine große Rolle, aber auch eine mangelnde Bereitschaft zum Engagement von Ehrenamtlichen.
A Orléans, les jeunes présentent le « vélo-école » qui offre une formation au vélo pour les adultes – avec le but de redonner confiance aux cyclistes adultes débutants et de leur apprendre les règles de base. A Münster, les jeunes présentent une « manifestation à vélo » à Münster qui est organisée par le mouvement « Fridays for Future ».
In Orléans, die Jugendlichen stellen eine Fahrradschule vor, die eine Fahrrad-Ausbildung für Erwachsene anbietet – um den erwachsenen Fahrrad-Anfängern ihr Vertrauen wiederzugeben und ihnen die Grundregeln beizubringen. In Münster, die Jugendlichen stellen eine „Fahrraddemo“ in Münster vor, die von der Bewegung „Fridays for Future“ organisiert wird.
Pour cette deuxième vidéo, les jeunes d’Orléans et de Münster présentent la production de l’eau potable dans leur ville.
Für dieses zweite Video stellen die Jugendlichen aus Orléans und Münster die Produktion von Trinkwasser in ihrer Stadt vor.
Pour cette troisième vidéo, les jeunes d’Orléans et de Münster présentent des actions menées sur leur territoire en matière de gestion des déchets et d’assainissement.
In diesem dritten Video stellen die Jugendlichen aus Orléans und Münster Aktionen vor, die in ihrer Stadt im Bereich der Abfallwirtschaft und der Abwasserentsorgung durchgeführt werden.
Pour cette 4ème vidéo, les jeunes d’Orléans et de Münster présentent des actions menées sur leur territoire en matière de gestion de l’énergie.
Pour cette 5ème et dernière vidéo, les jeunes d’Orléans et de Münster présentent des actions menées sur leur territoire en matière de gestion de la biodiversité.
Le 24 septembre 1960 le jumelage avec Orléans a été scellé dans la salle de paix de Munster. 60 ans plus tard les festivités prévues sont reportées pour un an pour cause de pandémie. C’est pour le 61ième anniversaire du jumelage qu’une délégation de Munster s’est rendue à Orléans pour le Festival de Loire.
Du 22 septembre au 26 septembre, la 10ième édition du Festival de Loire a attiré un public nombreux. Parmi les 300 000 visiteurs, se trouvait la délégation allemande de Munster et le maire de Munster, Markus Lewe, qui a pu finalement venir à Orléans pour signer le renouvellement du serment du jumelage.
La délégation de Munster a pu profiter des festivités au bord de la Loire. Au début de leur séjour, le mercredi (22 Septembre), elle a participé à l’inauguration du festival avant d’être accueillie par les amis français du conseil municipal d’Orléans le soir. Le jour suivant elle a profité d’une balade en bateau et s’est rendue sur le stand des villes jumelles pour y rencontrer les associations notamment l’association franco-allemande et l’association Orléans-Munster.
Le 24 septembre, la cérémonie officielle du jumelage avait lieu. Les maires des deux villes, Serge Grouard et Markus Lewe, ont signé le renouvellement du serment du jumelage. « L’idée d’origine il y a 60 ans était de développer de l’amitié, la réconciliation et la communication entre les peuples avec notre voisin européen. Depuis nous travaillons sur différentes thématiques, mais la rencontre et les échanges entre les citoyens sont indispensables pour la compréhension mutuelle et le développement d’une Europe unie » a dit Markus Lewe lors de son discours à Orléans.
Dans le cadre des réunions de travail entre les communes, ont été évoqués, entre autres, le développement économique, la mobilité ou encore la protection de l’environnement. Dans le même temps, ils ont mis en lumière les points communs et les points clés pour la coopération future.
A la fin du séjour, la délégation a visité le « Musée d’Orléans pour la Biodiversité et l’Environnement » récemment ouvert et l’exposition sur Munster à l’Hôtel Groslot. L’une des œuvres de cette exposition est une réplique en legos de l’ancien hôtel de ville, de la maison de la ville du vin (« Stadtweinhaus ») et du restaurant « Stuhlmacher ». Ils ont été offerts par la ville Munster aux amis orléanais.
Des cadeaux officiels ont été échangés, Orléans a offert à Munster Le cadeau officiel trois rosiers de la variété « Jeanne d’Arc ». Ils seront plantés au « Buddenturm » à Munster.
Munster a offert à Orléans un pommier qui prendra place dans un des jardins de la ville.
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Am 24. September 1960 wurde die Partnerschaft mit Orléans im Friedenssaal von Münster besiegelt. 60 Jahre später musste das Jubiläum wegen der Pandemie um ein Jahr verschoben werden. Zum 61. Jubiläum konnte die Delegation aus Münster dennoch zum Festival der Loire anreisen.
Vom 22. bis zum 24. September hat die 10. Ausführung des Festivals der Loire großes öffentliches Interesse erweckt. Unter den 300 000 Besuchern in fünf Tagen, konnte man unter anderem die Delegation aus Münster wiederfinden. In diesem September war es Markus Lewe möglich, zur Erneuerung des Partnerschaftseids nach Orléans zu reisen.
Die Delegation aus Münster konnte während ihrer Reise von den Festlichkeiten an der Loire profitieren. Zu Beginn ihres Besuches, am Mittwoch (22. September), nahm sie an der Einweihung des Festivals teil bevor sie dann anschließend von den französischen Freunden begrüßt wurde. Am folgenden Tag hat die Delegation sich unter anderem bei deiner Bootsfahrt auf der Loire oder bei einem Besuch der Partnerstände amüsiert. Darunter befanden sich beispielsweise die deutsch-französische Gesellschaft und die Organisation Münster-Orléans.
Am 24. September, dem Herzstück des Besuches, fand die offizielle Zeremonie zur Feier der Städtepartnerschaft statt. Die Bürgermeister der Städte, Serge Grouard und Markus Lewe, unterzeichneten die Erneuerung des Eids der Städtepartnerschaft.
Im Rahmen der Zusammenarbeit der Kommunen wurde unter anderem über wirtschaftliche Entwicklungen, Mobilität und Umweltschutz gesprochen. Dabei wurden vor allem Gemeinsamkeiten und Grundlagen für die zukünftige Zusammenarbeit hervorgeheben.
Am Ende der Delegationsreise stand noch der Besuch des „ Museums für Biodiversität und Umwelt“ aus und zudem der Besuch einer Ausstellung über die beiden Städte im Hotel Groslot. Darunter befanden sich zum Beispiel Legonachbauten des alten Rathauses, des Stadtweinhauses et des Restaurants Stuhlmacher. Es wurde von der Stadt Münster für die französischen Freunde bereitgestellt.
Das offizielle Geschenk von Orléans an Münster waren drei Rosenbüsche der Sorte „Jeanne d’Arc“, die zukünftig am Buddenturm gepflanzt werden sollen.
Du 9 au 23 octobre 2021 les élèves de Münster ont eu l’occasion de rendre visite à leur famille d’accueil à Orléans. L’échange entre les élèves d’Orléans et Münster a pu reprendre pour la première fois depuis le début de la pandémie.
Depuis 1961, l’année du jumelage entre Orléans et Münster et jusqu’à aujourd’hui 9200 élèves y ont participé. Habituellement l’échange, organisé par l’association Orléans-Münster, se déroule chaque année en deux temps : premièrement un séjour de deux semaines des français à Münster en février et dans un second temps un séjour de deux semaines des allemands à Orléans pendant les vacances de Pâques.
A cause de la pandémie de Coronavirus, ce séjour s’est déroulé différemment. En effet, il a débuté avec le séjour des Français en Allemagne en février 2020. La visite des Allemands en France a été reportée à l’automne 2021. Par conséquent, des orléanais n’étaient plus disponibles pour accueillir des jeunes de Münster et certains allemands ont dû renoncer à venir. Mais de nouveaux participants se sont rencontrés, et ceci a permis de rendre possible le séjour des élèves en France. Les élèves étaient très heureux de pouvoir se rencontrer en personne. Cette année 8 Français et Allemands ont participé à l’échange et des liens d’amitié se sont créés entre les élèves allemands et français.
Le programme du séjour s’est construit en fonction des attentes des jeunes participants. Un cours de langue a été organisé la première semaine. Ce dernier a donné la possibilité aux jeunes d’améliorer leurs connaissances françaises. Ce cours n’implique pas seulement des heures de grammaire et de vocabulaire, mais aussi la préparation d’une pièce de théâtre qui a été présentée par les correspondants devant leurs familles.
Les jours suivants, les jeunes se sont amusés pendant des activités sportives, une excursion à Paris et une visite d’un château de la Loire. De plus, un rallye a été organisé dans la ville d’Orléans. C’était l’occasion pour les jeunes allemands de se retrouver en équipe pour répondre à un questionnaire sur la culture et l’histoire de la ville. Le groupe gagnant a reçu un lot lors d’une cérémonie d’accueil.
Cette cérémonie d’accueil a eu lieu le 19 octobre à l’Hôtel Groslot. Madame Capucine Fedrigo, Conseillère Municipale en charge des jumelages, a accueilli les jeunes de Münster. Lors d’un discours, elle a rendu hommage au jumelage qui fut l’un des tout premiers fondés après la Seconde Guerre Mondiale il y a 61 ans. Une élève allemande a remercié l’élue pour l’accueil de la ville d’Orléans. Pour elle, et tous les autres participants, c’est une chance de contribuer au renforcement de l’amitié franco-allemande. Les jeunes allemands en ont profité pour apporter le cadeau de la ville de Münster. Il s’agit d’un arbre « Dülmener Rose » qui sera planté bientôt à Orléans.
Le jeudi, le dernier jour du séjour, une fête au Château Charbonnière a été organisée. Les correspondants et leurs familles sont venus pour passer un dernier soir ensemble. Le moment était convivial et chaleureux. Une belle image de l’amitié franco-allemande restera dans toutes les têtes quand les chansons « Aux champs Elysée » et « Marmor, Stein und Eisen bricht » étaient jouées par le responsable de l’association René Soule-Péré.
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Vom 9 bis zum 23 Oktober 2021 war es den Schüler*innen aus Münster endlich möglich, ihren Gastfamilien in Orléans einen Rückbesuch zu erstatten. Der Austausch zwischen den Schulen aus Orléans und Münster konnte erstmalig seit dem Beginn der Pandemie wieder aufgenommen werden.
Seit dem Jahr 1961, dem Beginn der Städtepartnerschaft zwischen Orléans und Münster, bis heute haben 9200 Schüler*innen an dem Austausch teilgenommen. Normalerweise findet der Austausch, organisiert von dem Verein Orléans-Münster, zu zwei Zeiten im Jahr statt: zuerst ein zweiwöchiger Besuch der Franzosen in Münster im Februar und daran anschließend der Gegenbesuch der Deutschen in Orléans während der Osterferien.
Diesmal musste der Austausch allerdings aus Pandemiegründen anders verlaufen. Er begann mit dem Aufenthalt der Franzosen in Deutschland im Februar 2020. Der Besuch der Münsteraner in Orléans wurde jedoch auf den Herbst 2021 verschoben. Als es schließlich zur Wiederaufnahme kam, konnten einige Schüler*innen nicht mehr teilnehmen. Dennoch wurden neue Familien gefunden und die Schüler*innen waren ebenso glücklich wie die anderen Teilnehmer*innen, sich wieder in Person sehen zu können. Dieses Jahr haben 8 französische und deutsche Schüler*innen teilgenommen und einige Freundschaften wurden geknüpft.
A l’occasion du 61ième anniversaire du jumelage entre Orléans et Münster, un pommier a été offert comme cadeau par la ville de Münster. Il s’agit du pommier « Dülmener Rose » qui a été planté jeudi, le 28 novembre 2021, dans le parc Léon-Chenault. Ce Parc a été choisi comme lieu de plantation parce que c’est aussi le jardin du jumelage. Ce jardin met à l’honneur les villes jumelles et leurs végétations. Capucine Fedrigo, Conseillère Municipale et Jean-Paul Imbault, Adjoint à la Ville-Jardin, étaient présents pendant la cérémonie de la plantation. Le rituel de la plantation de l’arbre est plein de sens, puisqu’il va symboliser l’amitié entre deux villes, amitié qui va croitre comme cet arbre à la condition d’y apporter l’attention et les soins dont il a besoin.
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Anlässlich des 61. Jubiläums der Städtepartnerschaft zwischen Orléans und Münster, schenkt die Stadt Münster einen Apfelbaum an seine französische Partnerstadt. Der Apfelbaum der Sorte „Dülmener Rose“ wurde am Donnerstag, den 28. November 2021, im Park Léon-Chenault im Stadtteil Saint-Marceau gepflanzt. Dieser Park wurde für die Pflanzung auserwählt, da er zudem der Städtepartnerschaftsgarten ist. Dieser Garten würdigt die Partnerstädte und ihre Vegetationen. Capucine Fedrigo, Mitglied des Stadtrats und Jean-Paul Imbault, Stellvertreter des Stadtgartens, waren während der Pflanzungszeremonie vertreten. Das Ritual der Baumpflanzung trägt eine tiefe Bedeutung, da es die Freundschaft der Partnerstädte symbolisiert; eine Freundschaft, die wie der Baum wächst und der man die notwendige Aufmerksamkeit und Fürsorge entgegenbringen muss.